[Mort RP][BG] Nash

Darwhine
Nash
Humains
50 ans
Alignement: ?
Malaar
Guerrier 8/ le reste en rodeur
Eleve studieux, pistage, spécialisation cimeterre a deux mains.

Traits de carractère: Réservé en publique la plus part du temps, il a du mal à garder son calme et s'échauffe rapidement sur certains sujet (son age, son mode de vie entre autre).
Cette instabilité de comportement et son aspect repoussant le rendent terriblement associal.
Il n'est pas érudit, ne sait pas lire ni écrire.
Ca ne l'empeche pas d'avoir su développer au fil des années une ruse très fine basé sur l'art et la manière de survivre a son environement (naturel ou non).

Description physique: Petit, chauve, le visage buriné par les rides , une dentition massacré par l'acool, les empoignades dans les bars; son aspect alliant les affres d'une vie rude à la laideur de la vieillesse, lui donne un air particulièrement repoussant.

Caractéristiques:
For:?
Dext:?
Const:?
Inte:?
Sag:?
Cha:?

Le reste a été envoyé à la section DM. Je souhaiterais à ce qu' on repasse le BG sur le forum publique à ça mort RP.

[hrp]
Mort rp.
Je poste le BG en publique et j' écris les derniers instants de Nash.[/hrp]

Darwhine
Nash
Humains
50 ans
Chaotique mauvais
Malaar
Guerrier 8/ le reste en rodeur
Eleve studieux, pistage, spécialisation cimeterre a deux mains.

Traits de carractère: Réservé en publique la plus part du temps, il a du mal à garder son calme et s'échauffe rapidement sur certains sujet (son age, son mode de vie entre autre).
Cette instabilité de comportement et son aspect repoussant le rendent terriblement associal.
Il n'est pas érudit, ne sait pas lire ni écrire.
Ca ne l'empeche pas d'avoir su développer au fil des années une ruse très fine basé sur l'art et la manière de survivre a son environement (naturel ou non).

Description physique: Petit, chauve, le visage buriné par les rides , une dentition massacré par l'acool, les empoignades dans les bars; son aspect alliant les affres d'une vie rude à la laideur de la vieillesse, lui donne un air particulièrement repoussant.

Caractéristiques:
For:18
Dext:12
Const:14
Inte:14
Sag:10
Cha:8

[Le touhab, ou le froid ...voila comment on le surnomait a kashiir pres du grand desert.
Issu d'une tribu de nomades: les touhabs, nash apprit des son plus jeune age que les faibles ne survivent pas aux sables brulant...
Sa soeur morte 2 mois apres sa naissance,la part du à la tribu, à la famille.
Son frere, agé de 14 ans blessé lors d'un raid, incapable de monter à dos de dromadaire et abandonné dans le désert, la part du grand prédateur.
Si fait, la vie est dure, sêche et bien souvent stérile sous ce soleil infernal.
Mais les touhabs n'en survivent pas moins.

Touhab... un nom qui se perd dans l' immensité du désert. Un nom que les faibles vivant dans les villes prononcent avec effroi et incompréhension.
Les maudits selon eux,le peuple élu selon l' écarlate.
Quelle vie étrange que la leurs: des milliers au départ, aujourd' huis 101.. ou une poignée de grains.
Voici l'histoire de Nash, et celle de ça tribu.

Les touhabs étaient un peuple ancien et puissant. Nul ne sait quand les autres finirent par se liguer contre eux, toujours est-il qu' ils les ont pourchassés à travers le temps et le désert.
Alors est arrivé le premier écarlate, portant la marque du grand prédateur, couvert du sang de leurs ennemis. Il leurs a montré la voie, le chemin de la survie.
En l' écoutant, ils ont compris leurs erreurs. Le monde se divise en deux parties: les chasseurs et la viande. Ils fuyaient comme des lâches, beuglaient comme des veaux, se lamentaient comme des femmes, eux le peuple élu fait pour tuer.
Se fut une véritable révélation. Afin d'honorer le nouveau guide, et pour leurs avoir rendu leurs fierté, ils puisèrent dans ce qui leurs restait de bétail, firent un grand féstin et jurèrent allégeance au grand prédateur.
Mais quelques jours plustard, la nourriture vient à manquer. Désoeuvré les ancètres cherchèrent à nouveau conseils auprés de l' écarlate:
- << Nous mourons de faim et de soif,le bétail et l'eau se font rare, que faire? Montre nous la volonté du grand prédateur >>.
L' écarlate, le premier de tous, dit alors en écartant les bras: << Tu meurs de faim dis-tu? Pourtant les proies abondent >>.
- << Tu meurs de soif? Pourtant j'entends l'eau qui murmure en ce moment même.>>
- << Quoi, ici ? En plein désert?>>
L' écarlate lui sourit: << Attends, je vais te montrer...>>
D' un geste ample, il l' égorge, puis se met à boire son sang et à dévorer ça chair.

Ce fut la seconde révélation, celle qui devait les mener à la survie. Là encore ils séparèrent les chasseurs et la viande au sein même de la tribu.
Aprés le massacre, l' écarlate se leva satisfait et dit en les dénombrant du regard: << Vous étes 100, et je suis un, nous serons les touhabs >>.
Depuis lors, même s' ils ont oublié la moindre parcelle de leurs culture d' antan, les touhabs savent qu' ils signifient 101 ... et ça leurs suffit amplement.

Ils devinrent des pillards. Ils traquent les convois, les autres nomades et leurs prennent tout: betes, femmes, or..
Ils les dépouillent, puis leurs donnent la chasse à travers le désert au nom de la bete féroce, qu'ils prient chaque soir, et les dévore.
Le dévoreur, le grand prédateur, ou encore celui qui foule le sable sans se bruler .. Autant de termes pour désigner le divin pour qui les malédictions de cet enfer ne sont rien.
Il est dit que cet etre ne bois pas: il trouve l'eau dans le sang de sa proie; il est dit que la chaleur ne l'atteind pas; il est dit que lorsqu'il se met en chasse, c'est la tempete qui se leve, soulevant le sable en grand tourbillons, emportant les vieux et les faibles.
Beaucoup de noms, beaucoup d'exploits... Mais tout ce qui compte c'est qu'il survit là ou les touhabs se meurent.

C'est pourquoi ils l'adorent, le vénèrent, ce dieu dans lequel ils voient un modèle, un avenir pour leurs peuple..
Ils lui font des sacrifices, tout les 7 jours ils lui offrent une bete .. et s'il n'y a plus de bete, ils lui offre un des membre de la tribu.
Ils s' obstinent à vivre dans un environement hostile, marche là ou les autres s'écroulent.
C' est pourquoi ils se considèrent comme le peuple élu, le seul qui soit réellement digne du grand prédateur.
Chaque jours qui passe est une démonstration de leurs supériorité, une victoire sur le désert. Le grand chasseur les a une nouvelle fois épprouvé, et ils s' en sont montré digne.
Les caravanes leurs fournissent surtout l' essentiel des biens durables, comme les vétements, les dromadaires, les cheveaux et autres produit de luxe. Les hommes, leurs fournissent un supplément de viande, d'armes et étanche leurs soif.
Mais ça ne suffit pas. Les cravannes ne passent pas tout le temps, et l' eau en particulier vient souvent à manquer.
C' est pourquoi, ils s' insprirent des animaux du désert: les femmes dressent une multitude de toile reliés à de grands os afin de receuillir l' eau de la rosé, ils coupent les cactus qui poussent parfois dans le desert etc...
Tout est mis en oeuvre pour receuillir le précieux liquide.

Le chef spirituel de la tribu est nommé l' écarlate, il est chargé de guider le peuple.
C' est lui qui prend les décisions importantes.
En cas de période faste et de grande prise, la tribu s' agrandi.
L' écarlate honore alors toutes les femmes de la tribu. Les chasseurs ne participent pas aux ébats. Leurs énergie est trop précieuse à la survie de la tribu pour qu' ils puissent se permettre de la gaspiller ainsi.
Lors des naissances, l' écarlate choisi parmi les nouveaux nés les plus vigoureux. Se seront les futurs chasseurs.
Puis il les réparti avec leurs mère entre les guerriers. Chacun en sera le responsable et veillera à la formation du futur mâle. Les restants seront consommé le soir même par la tribu.
Les femmelles qui ont perdu leurs progéniture serviront de nourrice supplémentaires.

Tel est le prix de la survie.

Nash, 27 ans, n'en peu plus: il n'en peut plus de ces privations, de cette religion stupide qui leurs fait sacrifier leur dernière chameau au profit d'un dieu qui ne leur apporte rien d'autre qu'une famine supplémentaire.
Dix ans plustot le bétail manquait, la bete prévu pour le sacrifice venait de crever: déshydraté. Aussi ce fut son père que l'on mis sur l'autel.. Un trés bon croyant: il sourirait quand on l'égorgea comme un veau.
Quel était donc cet individus si faible qui ne se defendait même pas alors qu'on lui prenait la vie? Etait il lui aussi une bete de somme ce pere si fort qui lui avait tout appris et qu'il avait tant chéri ?
27 ans, bientot 30 .. à 40 il serait surement offert au désert comme tout les vieux de la tribu.
Aujourd'huis l'écarlate vient d' annoncer l'état de pénurie; tout les hommes sont nerveux, une pénurie ne peut etre du qu'à deux chose: le mécontantement divin ou la surpopulation.
Il va falloir se compter.
Les hommes se rassemblent au milieu du camp.
L'écarlate prend une poignée de blé de notre dernier sac, il fait le tour des tentes et donne un grain a chaque femme et enfant, cela fait il revient vers les hommes.
Tout le monde ramasse le premier objet contondant a portée de mains, les moins chanceux n' auront que leurs poings.
Le pretre prend un grain, puis lance le reste en l'air..
C'est la ruée: le frère combat le frère, le père tabasse le fils.
Au couché du soleil l'écarlate revient.
Tout le monde se met a genoux et brandit sa prise. Il félicite les vainqueurs et regarde avec mépris ceux qui sont bredouille; une dizaine de personne ... ainsi donc ils étaient 10 et 101(*).
Les bléssés grave sont abandonnés: le prédateur les a marqué, il les réclame et ils iront à sa rencontre au petit matin.
Pour ce qui concerne les vaincus viable ... ils ne dérogeront pas à la regle: il faut séparer le chasseur de la viande.

Cette nuit fut rude pour Nash, il souffre de nombreuses contusions, il ne sera probablement pas capable de soutenir l'attaque du lendemain.
Il lui faut agir ou mourir.

Il pris la fuite, poursuivit pendant 10 jours, il ne du son salut qu'à la proximité de Kashiir..
Kashiir, une ville à bestiaux .. opulente comme une truie bien grasse, débordant de richesses; c'est du moins comme ça qu'ils la voyait et c'est avec envie que les jeunes en parlait.
Nash pensait enfin commencer une vie nouvelle et facile .. que les enfants peuvent etre naifs...
Si d'extérieur la cité et ces beau beau mur dorés laissait reveur, l'interieur était tout autre ...
Ordure, catin, misère, maladies poussaient sur les trotoires comme les asticots sur un morceau de viande pourris.
Les cartels se partageaient la cité, chacun son quartier ils faisaient mains basse sur le travail des commercant les suçant a blancs.
C'était pire que le désert: il était a nouveau bétail, mais incapble de se défendre dans cette ville étrangère ou l'intrigue faisait loi. La force brute ne lui était d'aucun secour, de taverne en taverne, ils s'y mettaient à quatre le dépouillant de tout, puis le battaient à mort, pour le laisser dehors parmis les ordures.
Lui qui avait si longtemps été chasseur, le voila devenu proie.
Il eu honte, il du fuir, mais il fini temps bien que mal par apprendre.

Tout d'abord choisir son camp, jouer les larbins, puis les grosses brutes au profit d'un cartel, puis d'un autre.
Puis, monter en grade: d'homme de mains, il devient homme de confiance...
Trop bete ou trop honnete pour ourdir quelques coups fourré pensait on.
En réalité, Nash ne faisait que s'adapter aux règles implicites de ce mode de vie: tête basse, tu te tais et tu fais ce qu'on te dit.
Si de prime abord la ville ressemblait à un chaos sans nom, il apprit bien vite qu'il n'en était rien: des rêgles éxistaient, des accords tacites que se passaient les cartels pour éviter toute guerre ouverte et profiter pleinement de ce fruit juteux qu'était kashiir.
Un tel touchait une redevence sur les produits locaux, un tel avait la rue principal pour y faire bosser ses filles, un tel avait mains basse sur le marché aux esclaves..
Bref, une mécanique bien huilé qui engraissait les gros bonnets au détrimant de tout les autres.
Nash n'était pas quelqu'un de juste et ne tenait pas particulierement à la "bonté" ou à la "justice"; mais il enrageait de voir ces gros tas se goinfrer sans éffort, sans mériter la viande qu'ils avalaient chaque jour.
Il était boureau de Turkly, il éxecutait ses sentances: on lui avait donné un superbe cimeterre a deux mains qu'il employait pour décapiter, écorcher, démembrer les mauvais payeurs sur la place publique, afin que tout le monde sache ou étaient leur interet.
C'est là qu'on l'appelait le touhab, le froid ..
Le froid parce qu'il ne disait mot: lever, trancher, lever, couper.. voila à quoi se résumait ça vie.
C'était comme faire la cuisine, on ne chassait pas, le gibier était deja mort, il n'y avait plus qu'à le préparer.
Un pantin, une coque sans vie .. une femme: voila ce qu'il était devenu.
Il regrettait amerement ça vie du desert, il avait peché par orgueil s'imaginant que la cité pouvait lui donner une vie facile, sans meme penser un seul instant à ce qu'il pourrait perdre .
Il était parti du principe qu'en quittant le désert il n'avait rien, d'ou lui venait alors cette nostalgie? Cette envie de ces moment béni, ou libre, il traquait les marchants a travers le desert, la tension de la chasse faisant voler en éclat toute notion du temps, tout soucis, toute logique.
C'est bien la chasse qui permettait aux touhabs de survivrent.. la traque, le gout du sang surclassait la misère de leurs éxistance et c'est pendant ces bref moments d'exitation intence qu'ils trouvaient la force de supporter l'insupportable.

Turkly du un jour se rendre à l'oasis pour assurer une négociation de frette .
En temps que proche, Nash se devait de l'accompagner en qualité de garde du corps.
Les pourparlés prirent toutes la matinée et quelques différents opposant les marchants à Turkly, il fut décidé de passer la nuit sur place.

Il y eu trahison.
Les marchants voyant là une bonne occasion de mettre mains basse sur une partie de la ville, s'en prirent aux hommes de mains les égorgeant pendant leur sommeil..
L'alerte fut donné, étant touhab, Nash devait partir sur le champs avec Turkly pour le ramener en lieu sur à la cité.

Enfin ... la rédemption.
Il partit à cheval avec son supérieur .... dans le sens opposé, prétendant connaitre un refuge proche ou son maitre pourrait s'y refugier.
Apres quatre heures de galop sans interruption, il propose à Turkly de faire une halte; le gros suant toute l'eau de son corps, acquiesse de bon coeur.
Nash prend le cheval du maître et l'enmène a l'écart "pour le nourrir" prentend il.
Il l'égorge selon les rites: lui coupe les jarrets de son cimeterre et la bete se trainant au sol, la saigne à blanc en lui tranchant la gorge.
Reveillé par les cris de l'animal, Turkly paniqué assiste à la céremonie: Nash plongeant ses doigts dans le cou béant du canasson, se trace d'étrange dessins sur la figure.
"Ce soir nous célebrons le grand prédateur" lui dit il .
Se retournant vers Turkly: " Je te laisse une heure".

Il n'en fallut pas plus pour Turkly qui pris ses jambes a son cou pour se perdre dans ces terres désolés.
Nash pris son temps afin de ne pas perdre sa piste, scrutant méticuleusement le sable..
Si pister un homme de nuit est difficile, le vent ne s'étant pas levé, les traces étaient suffisement nettes pour rendre cela possible.
Enfin il retrouvait ces sensations si longtemps enfouies et négligés !
L'incertitude quand il se penche sur le sol: est il revenu en arriere, marchant sur ses pas? A t'il pris une autre direction?
L'éxitation devant les preuves: une pierre ensanglanté, il est tombé dessus: blessé au pied? Au genou ? Il boite?
Rien que d'imaginer le gros Turkly se trainer, soufflant et ralant sur le sable, il resent comme une sorte d'appétit .. comme si ce n'était pas un homme qu'il chassait, mais un bon gros cochon bien gras.
Les traces se font de plus en plus précises, il n'est plus tres loin.. les petites gouttes de sangs se font de plus en plus large..
Il se baisse, sans trop savoir pourquoi, prend une petite tache vermeille en coupe et la met dans ça bouche... il croit y deceler ce gout cuivré si particulier parmi les grains de sable qui lui écorche la langue.
Le souvenir de toutes les chasses de son enfance lui reviennent d'un coup.
Il est heureux, le voila redevenu le gamin de 20 ans qu'il était jadis.
Alors laissant libre cours à la violence que charie son sang, il enfourche son cheval et le pousse au galop en poussant son cris de guerre tribal.

Il retrouve Turkly au matin, il n'en pouvait plus de courir et le soleil se levant, il savait que la chaleur finirait par l'avoir.
Aussi plein de ruse, le boss était revenu sur ses pas pour brouiller sa piste et s'était enfouit dans le sable tel le cafard qu'il était.
Il respirait par un petit tuyaux qui dépassait a peine du sable .. une dune parmis tant dautre..
Cependant, apres avoir fait fausse route, Nash revient lui meme en arriere et reconnut le monticule suspect: le sable en surface, plus pale trahissait l'humidité qui c'était infiltré a travers les grains dans la couche inférieur, en creusant trop profondement le sol il s'était trahis.
Nash sourit, une chance: une heure de plus et le soleil l'aurait completement asseché.
Faignant avoir perdu sa trace, il s'assied sur le monticule, pestant contre le sort et le vent qui lui avait faisait perdre sa proie.
Il attendit ainsi plusieurs heures s'abreuvant regulièrement a mesure que le soleil se levait, laissant Turkly cuire peu à peu sous son tas de sable...
Alors, que le soleil était deja bien haut dans le ciel depuis deux heures, se lassant de ce petit jeu,il décide d'y mettre un terme. Nash se leve et dégaine son cimeterre.
Prononcant les paroles rituel, il perce la bute de part en part.
Des gargouillis étouffés s'échappent de la bute et à mesure qu'il frappe, des petites giclés de sang s'échappent du sable qui ne tarde pas s'en imbiber...
Son foie est énorme et juteux .. le foie d'un alcoolique, un véritable délice.
Louer soit le prédateur.


Le vieux .. le laid, voila comment on l'appele 10 ans plustard, sur la cote des épées.
Ils l'ont traquer depuis le desert: le touhab assassin, celui qui a oser defier le cartel.
Il porte l'armure maintenant, mettant a profit ses connaissances martial il est garde dans une petite bourgarde.
Seulement, il n'a pas oublié cette nuit dans le désert, aussi il traque les pillards de la meme manière... des proies comme les autres.
Parfois quand un prisonnier lui semble un peu plus apte , il devient soudain un peu plus négligeant... un fil de fer, un morceau de métal, laissé là "par hasard", suffit généralement pour que celui-ci prenne la fuite ..
Alors il lui donne la chasse..
Selon les critères de son peuple, il est fini: il aurait du mourir dans le desert il y a 10 ans de cela, on ne passe pas la quarantaine: c'est la regle.
En voila une qu'il compte bien transgresser...
Ce mode de vie n'est pas parfait, il y a encore des lois et il ne peux pas laisser libre cours à ses sentiments primaire en publique ... mais pour ça sécurité il se doit de se méler a la cité, aussi ce compromis lui convient.
Cependant, le cartel a des moyens qu'un homme seul ne possède pas.
C'est à l'aube de ses 50 années qu'un homme enturbanné se présente à lui: "Nash ,enfin pour la plus grande gloire d'Ashin fils de Turkly, loué soit le dévoreur".
Proie ou prédateur, qu'importe ... seul compte la lutte pour la vie.
Nash a beau faire il est dépassé, ses coups se perdent dans le vide, l'autre plus jeune, plus vigoureux, le presse, le harcèle; il tente de le surprendre avec les "bottes" qu'ils a apprisent ses dix dernieres années, l'autre ne s'y laisse pas prendre: il est trop lent... trop vieux.
Son armure ne lui est pas d'un grand secour, elle le gène dans ses mouvement, le fatigue.
Dans un acte désespéré il tente de faire appèle a son coté bestial, sacrifiant toute défense pour en finir au plus vite.
Il n'y arrive pas..
Il continue a resentir la douleur, ses bras lui pèsent et il ne peut surmonter les limites de sa condition physique.
Il tape dans tout les sens, détruisant les meubles, balafrant les murs..sans jamais parvenir a toucher le nomade.
Lui en revanche s'amuse, l'asticote et lui tourne autour.
Finalement, Nash se retrouve a genoux, vidé de toute energie, il n'a meme plus la force de lever son arme.

Seulement, ce touhab aussi corrompu qu'il l'était par le passé, refuse de lui accorder la dernière marche.
"Mes maitre te veulent en vie" explique t'il, "Un affront au cartel est un affront aux touhabs".
Il apprend alors que las des pillages incessant menés par son peuple, les cartels ont finalement fait cause commune et on fini par le soumettre.
Nash rumine encore cette tragédie dans la cale du galion qui le ramène chez lui.

Quand survient la tempète.
Le naufrage.
La porte...

*NB:Un touhab ne sait pas compter au de là de dix. C' est donc l' écarlate qui décide s' ils sont bien 101 ou pas. S' il y a plus d'hommes que de grains, que peut en contenir ça mains, c' est que la tribu compte plus que 101 personnes.


Sur une île nommé Almirande...

Aprés avoir été banni de la ville suite à un duel perdu contre le garde Faelar, Nash traina ça vielle carcasse aux abords de la ville, sur la plage.

Mis en garde par les membres de bosquet, il ne pu subvenir à ses besoins.
La faim le tenaillait. Il décida donc de revenir à ses traditions ancestrales afin d' assurer ça survie.
Il engagea un rabatteur, qu' il chargea de lui ramener une proie.

Malheuresement pour Nash, la proie se révéla bien au-dessus de ses moyens. Son vielle âge et ça piètre condition physique ne lui furent d' aucun secours.

Ainsi mouru le dernier des touhab, le corps rongé par l' acide et immolé par le feu.



[hrp]Je laisse les joueurs ayant participé à ça fin, même si elle ne fut pas trés glorieuse, rajouter quelques mots s' ils le désirent.
[/hrp]

*Edité*

BG édité (ce n' était pas la bonne version).