[Mort] Dante Sinister

Darwhine
Dante Sinister
humain
43 ans
Neutre mauvais
Velsharoon
Brade lv8, le reste en chevalier noir
armes de prédiléctioen etc..: aucun en particulier
brute
1m90,bien bâti, yeux noirs, peau laiteuse, cheveux et barbe poivre-sel.

FOR:14
DEX:12
SAG:10
CON:14
INT:14
CHA:15

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[Contenu déplacé]

BG déplacé en section DM pour contenu trop explicite. Merci de ne pas oublier que le forum est ouvert aux mineurs.

Petit edit qui rapelle le règlement à l'inscription du forum :

Citation :

- les messages agressifs ou diffamatoires, les insultes et critiques personnelles, les grossièretés et vulgarités, et plus généralement tout message contrevenant aux lois françaises en vigueur sont interdits

Peuh, ça s' est la mailleure.
Lis Germinal (que l' on étudie au collège), Doïstoievski, ou n' importe lequel des San-Antonio (je ne parle même pas des livres coup de poing comme herbe bleu, le journal intime d'une droguée ) et tu verras que s' est trois fois pire.
Il existe par ailleur des BD et mangas, qui ne se trouve pas dans la catégorie pour adulte et qui sont autrement plus " explicite".

Il faut arreter de croire que la littérature se limite aux monde aseptisé des royaumes oubliés, ou il suffit que le vilain méchant tourne une fois ça veste, pour accéder au status de divinité, et se faire pompeusement appeler :" le prince des mensonges".

Concernant le réglement, je suis au courant.
Mes propos n' étaient en rien agressifs, ni diffamatoires. Il n' y avait ni insultes, ni critiques personnelles étant donné que l' histoire était fictive et qu' elle ne visait personne en particulier.

Maintenant je comprends que ça puisse te mettre mal à l' aise, vu que l' histoire est volontairement dure et je l' admet assez cru. Cependant, personnellement je me vois mal jouer un bad qui tourne mal parce qu' il à volé une sucette dans l' épicerie du coin.

Maintenant, j' ai mon BG, et la trame qui va avec. Donc si tu permet, je fais passer le message suivant:
Ceux qui ont commencé à lire cette histoire et qui veulent connaître la suite, envoyez moi un MP.
Ceux qui n' ont encore rien lu, mais qui souhaiterait le faire faites de même.
Je vous le renverrais de la même façon.

Navrée d'appliquer le réglement du forum. Concernant les romans étudiés, je te remercie, je suis au courant, mais j'administre ici un forum et ne tiens pas à me retrouver avec des plaintes de parents de mineurs pour de tels récits. Libres aux éditeurs de livres t'apprécier ou pas les contenus mais ici je gère tout comme je gère au niveau de mon travail la teneur des romans que je fais étudier ou non. Tu peux aussi bien t'autocensurer, et je ne mets aucunement en compte la qualité de ton récit par ailleurs.

Citation :

les messages agressifs ou diffamatoires, les insultes et critiques personnelles, les grossièretés et vulgarités, et plus généralement tout message contrevenant aux lois françaises en vigueur sont interdits

Pour ce qui est en gras notamment, tu allais à l'encontre de la charte et plus globalement la teneur à fort caractère sexuel de ton récit ne convient pas à des mineurs. Cela n'a aucun rapport avec mon ressenti personnel sur ton texte.

Citation :

Il faut arreter de croire que la littérature se limite aux monde aseptisé des royaumes oubliés, ou il suffit que le vilain méchant tourne une fois ça veste, pour accéder au status de divinité, et se faire pompeusement appeler :" le prince des mensonges".

Sans commentaire sur cette remarque déplacée sur ce que je crois ou pas (Et sur le reste ailleurs, ton ton devient limite irrespectueux envers moi, et il va falloir songer à te comporter de façon moins agressive)

Tres bien, j'aimerais continuer cette discussion en privé si tu le veux bien.

J' ai décidé de m' autocensurer, je présenterais ces versions à Musyne avant de les poster. Cela évitera tout malentendu.
Si vous voulez les versions non censuré, faites une demande en MP.
A noté: je ne vous les enverrais que si votre profil prouve bien que vous êtes majeur.

Partie 1

Je met en vert les passages volontairement censuré, afin de préserver l' innocence de nos plus jeunes lecteurs.

Mon nom est Dante, Dante Sinister.
Ceci est un récit de ma jeunesse, et de mes folles années.
Si j' écris ce journal, c' est pour essayer de ressentir les émotions puissantes qui me portaient alors.

Ma famille est riche et influente. Parmis mes ancêtres on compte un nombre incalculable de héros et grands mécènes en tout genre.
Mes parents étaient des gens trés occupés, ils avaient fort à faire pour maintenir le "prestige" de notre maison. Il allaient donc de réceptions en réceptions, dispensant faveurs et conseils pédants, comme les paysans sement leurs terre pour en récolter les fruits. Ils s' abreuvaient des flatteries de flagorneurs en tout genre, et ne rataient jamais une occasion de vanter les mérites et la bravoure des Sinister.
Si bien, que les relations avec mes parents se limitaient à des dîners silencieux et quelques échanges polis.

Néanmoins, cela n' empéchait pas mon père de me sermoner sur l' importance de notre maison, sur le rôle capital que je devrais jouer par la suite, afin que ma famille reçoive le respect qui lui était du.
Il citait souvent Baltazar, le tueur de gnolls, Goodmane Sinister, le paladin au coeur pur et vaillant, Félicie une femme autrefois renommé pour ça générosité et son altruïsme etc.. et plein d' autre encore, tous mes illustres ancêtres, tous plus grands et important les uns que les autres.
Enfin, ma mère quant à elle me prodiguait toujours quelques abjectes leçons de moral, qui portaient en général sur des notions débiles comme la vertu, la compassion ou encore l' amour... des trucs de femmes quoi.

Je me souviens que pendant ce genres discours moralisateurs, je songeais aux autres enfants qui jouaient alors tranquillement dehors.. que ne pourrais-je être à leurs place!

Un jour, je pris mon père au mot: j' ai abattu la plus terrible bête féroce que je connaissais alors. Je suis ensuite partit en courant voir mon père, en portant bien haut mon trophé et criant dans toute la maison: << Papa! Papa! Regarde, je suis Baltazar Sinister le tueur de monstre! >>
Cependant père n' acceuilli pas la nouvelle dans le sens ou je l' éspérais.
Au lieu de me porter dans ses bras en triomphe, son visage d' habitude si froid et inéxpressif blémi. Ses yeux loin d' éxprimer la joie et la gaité que j' attendais tant, ne reflétaient qu' horreur et mépris.

Dans mes bras tendu gisait Pepsi notre chienne depuis voilà une dizaines d' année. J' avais réussi à tromper la vigilance des domestiques, et me procurer un couteau de cuisine.(La suite est assez horrible pour la chienne, je la censure donc. A noter aussi que ce premier meurtre procure à Dante un certain plaisir.)

Mon père puis ma mère se sont mis hurler en voyant le massacre: j' avais laissé une trainé de sang dans toute la maison, rien qu' en transportant la bête. Aprés moult giffles et entre deux coups de ceintures, mon père ivre de rage ma saisi et me scouant comme un prunier:<< ALORS COMME CA ON VEUT DEVENIR UN HEROS HEIN? ATTEND JE VAIS T'APPRENDRE MOI CE QUE S'EST QUE LA GUERRE! >> Il fut décidé de m' envoyer chez mon oncle, un endroit dangereux fréquement victime d' attaques de pillards et de brigands en tout genre. Je devais y apprendre le maniement des armes sous le regard strict d' un homme d' arme compétant qui devait être à même de tuer dans l' oeuf mes penchanst sanguinaire. Par ailleurs, sous la pression express de ma mère, on me força à apprendre le chant, l' art et la dance auprés d'un barde elfe nommé Eldwin. Ces cours privé bien entendu étaient censé adoucir mes moeurs et m' ouvrir :" à la beauté et la magnificiance de la vie ".

En quelques jours tout fut décidé.
Et je partis donc en pleurant, sous bonne garde, les fesses encore rouge de la correction que l' on m' avait infligé. Personne ne vient me souhaiter bon voyage. Nul doute qu' ils furent tous soulagé de me voir partir.

Partie 2

Le chateau de mon Oncle Gode-froid Sinister (c' est bien son vrai nom) était une place fortifié.
Par " fortifié ", j' entend qu' il y faisait froid, humide et que s' était mal éclairé.
Ce chateau était fait pour les soldats, et s' était loin d' être un lieu de plaisance.
Cependant, Gode-froid, ça femme et ça fille y vivaient tout de même.

Les journées commencèrent alors à s' enchainer de manière monotone, toutes plus insuportables les unes que les autres. Matin, entrainement au maniement des armes sous l' oeil acéré de Sieur Cassegrain. Midi: littérature, poésie,dance et chants (le tout en langue elfique s' il vous plait!)
Enfin, le soir: cours de tactiques et de stratégies avec mon oncle.
Tout cela pendant quatre ans durant, sans interruptions ni changement, ni quelconque visite de mes parents.
Je haïssais cet endroit. Déjà que les circonstances de mon arrivé n' étaient pas favorable, le train train quotidien achevait de me le rendre encore plus détéstable. Je les méprisais tous un peu plus chaque jours, sans qu' ils n' en sachent rien. En renvanche, cet abruti d' oncle m' aimait bien, j' étais devenu en quelque sorte le fils qu' il révait d' avoir. La mère quant à elle m' ignorait au départ, mais lorsque je commencais à gagner en taille et en muscles, elle semblait peu à peu prendre conscience de mon éxistence.
Leurs fille Morgane restait poli, mais gardait ses distances.

Quatres ans passés dans le chateau, me permirent de comprendre ce qui se passait sous ses crénaux. Le père à l' image du mien, négligeait complètement ça famille et ne jurait que par son devoir. La mère issu d' une grande famille bourgeoise en souffrait terriblement. Elle ne pouvait plus supporter cette vie militaire, loin de toute fête, de toute réception mondaine, mais aussi de l' attention de son seigneur et époux.
Les disputes étaient fréquentes, et bien souvent les pleurs et les cris retentissaient à travers le chateau.
La fille déchiré à l' image du couple, s' enfonçait peu à peu dans la déprime la plus noire. Mes avis qu' elle aurait déjà mis fin à ses jours sans le soutien constant de ça nourice Chélma, qui tentait par tous les moyens d' égailler son éxistence.

Un jours, les dieux m' offrir la plus douce des vengeance qui soit.
Ce fut un soir particulièrement orageux, ma chambre situé en hauteur, tremblait aux rythmes des éclairs.
Une nouvelle dispute venait d' avoir lieu, particulièrement violente.
La mère était à bout, complétement ivre, elle réclamait le frou frou des robes, des bals et des receptions, ainsi que la présence (...de son maris)
Gode-froid furieu et excédé par ses cris, la renvoya définitivement de la chambre conjugale.
Certe les chambres ne manquaient pas au chateau... mais c' est dans la mienne qu' elle atterri .

(Dante se lancera alors dans une activité réservé au +18 ans, ensuite il la reverra plusieurs fois à d' autre endroits. Il lui racontera de belles histoires, mais ne ce contentera pas toujours que de ça)

Je ne la désirais pas vraiment, mais à l' instar de la pluspart des félins, je ressentais ce besoin impérieu de marquer mon territoire.

Partie 3

Passé une année, ce petit jeu commença à me lasser.
En plus des cours qui m' étaient dispensé, je devais me livrer à une activité de ramonage. Cela commençait à me déplaire fortement.

( afin de sauvegarder la pureté de nos plus jeunes lecteurs, je dirais simplement que Dante se lasse de la mère viellissante, mais ne reste pas indifférent aux charmes naissants de la fille). (toujours dans le même esprit: Dante arrive à approcher la fille, mais il est dans un tel émoi, qu'il est incapable de sauvegarder les apparances)



Malheuresement, j' étais à peine entrain de l' enlacé, que ça vielle peau de mère à débarqué. Bast, j' avais pourtant vérifier si à tout hasard je n' étais pas suivi. Mon désir de voir Morgane m' avait rendu imprudent.
Je réagi instinctivement, mettant instantanément en pratique mes leçons d' art dramatiques.
Je la repoussais et m' exclamais d'un sourire amusé à l' intention de la mère: " Dieux, qu' elles sont entreprenantes à leurs âges ".
" Voyons, reprennez vous! Je suis vôtre cousin aprés tout! ".

Le mensonge était grossier: n' importe qui aurait vu que la fille meurtrie avait autre chose en tête.
Cependant ça mère n' était pas n' importe qui.
Elle avait un de ces égo démeusuré, qui ne pouvait supporter le poid de la réalité:
alors qu' elle viellissait un peu plus chaque jours, ça fille s' embellissait.

C' est pourquoi, elle pris mon partie et giffla ça fille jusqu' au sang.
- " Comment oses-tu espèce de ***** ?"
Cette dernière sous le choc fut incapable de prononcer le moindre mot.
Ses yeux s' agrandirent et je suppose que c' est alors, qu'elle compris: il y a avait plus qu' une simple relation amicale entre ça mère et moi. Elle fit la seule chose qu' au fond elle savait faire: elle s' enfuit en pleurant.

J' étais un peu nerveux, et tenais difficilement en place ( il faut l' avouer cette tentative manqué m' avait laissé sur ma faim). J' ai donc tenté de la revoir par la suite afin de m' assurer son silence .
Seulement voilà, cette satanée Chélma se doutant de quelque chose, la couvait jours et nuits, allant jusqu' à dormir avec elle. Toute approche semblait pour le moment impossible, je rongeais mon frein.
En fin de compte, la mère finit par se plaindre auprés de mon oncle.
Curieux, je me débrouillais pour assister à la scène sans être vu.
La mère était furieuse, elle hurlait que ça fille jettait le déshonneur sur la famille: il fallait absolument calmer ses ardeurs lubriques ! Elle pressait son maris de l' envoyer dans un temple servir Oghma jusqu' à la fin de ses jours. Gode-froid ne voulait rien entendre. Finalement je pense maintenant avec quelques années de reculs, qu' il avait su développer au fil des ans une certaine affection pour ça fille.
Seulement Gode-froid si vaillant au combat, n' en menait pas large face à une femme en furie.
Ainsi tel un rocher devant la tempète, ça volonté s' éffritait petit à petit, jours aprés jours, dispute aprés dispute.
C' est pourquoi excédé il finit par accepter d' aller la voir et lui parler.

S' était là que l' issue de la pièce allait se jouer, il fallait absolument en être. J' y fut... et c' est sans doute la scène la plus cocasse qu' il m' est été donné de voir dans ma vie (si on met à part l' illustre performance d' Auguste de nombreuses années plustard).
Gode-froid entra dignement dans la chambre: " Morgane il faut que l' on parle".
La fille encore déboussolée , se méprenant sur ses intentions, se leva d' un bon et vint pleurnicher sur l' épaule de son père: " Ho papa, tu as raison, elle est vraiment horrible, je ne peux plus me taire alors qu' elle te fais cocu avec cet espèce de monstre qu' est D.."
Elle ne pu terminer ça phrase: il venait de la repoussé.
Pour ma part, j' étais bouche bée. C' était carrément génial, au delà de tout ce que j' avais pu éspérer. Morgane reculait vers son lit prise de terreur. Gode-froid quant à lui frémissait de rage, en sérrant les poings.
Il se mit à murmurer doucement, mais le tremblements qui l' agitaient trahissaient ça colère.
- <<Ta mère m' avait pourtant prévenu, mais je refusais de la croire. Comment oses-tu nous faire ça à nous, ta propre famille! >>
Elle tenta de bafouiller quelques explications, mais il ne lui en laissait pas l' occasion.
- << SILENCE! >>
Et elle se tut, larmoyante.
Puis il continua d' un ton douceureux: << Tu jettes l' opprobre sur notre maison, je ne peux supporter cela. Je t' enverrais donc au temple d' Oghma et tu y passeras le reste de ta vie, peut-être qu' alors tu comprenderas la portée de l' affront que tu nous as fait subir.>>
Sur ces paroles il sortit.

J' étais donc lavé de tout soupçons et la vie pouvait reprendre son cours. Mieux, si j' arrivais à approcher suffisement Morgane, je pourrais en faire à peu prés tout ce que je voulais.
Je me souviens avoir beaucoup rit une fois rentré dans ma chambre, les dieux avaient été cléments avec moi. Espérons qu' elle n' ait pas à partir trop tôt, j' avais tellement de choses à lui dire... et à lui montrer.
Je m' endormi donc, mes rêves rempli de fantasmes, tous plus osés les uns que les autres.

Cependant, le lendemain Morgane n' était plus là: elle avait (encore) pris la fuite.

Partie 4.

Aprés avoir appris la nouvelle, j' étais d' une humeur massacrante.
C' était à peine si j' avais fermé l' oeil de la nuit, incapable de ne faire rien d' autre que de penser à elle .
Et voilà qu' elle s' était enfuit? Inadmissible!
Tout à mes réflexions sordides, je me présentais au cours de Cassegrain pour mon rendez-vous martial quotidien.

Comme à notre habitude, nous nous mîmes en garde, puis il me donna les consignes:
- << Aujourd' huis nous allons travailler votre défense. Vous n' avez le droit que de parer ou d' esquiver, rien d' autre >>
J' acquièscais en silence, refoulant ma rage au plus profond de moi.
Puis il se mis à m' attaquer, lentement, puis de plus en plus vite. Les coups pleuvaient, comme la pluie sur le bord d' un vieux toit. Ce salaud n' y allait pas de main morte, et s' est à peine si j' arrivais à suivre. Je commencais enfin à comprendre pourquoi on l' avait surnomé Cassegrain.
En plus de coups, il m' arrosait copieusement d' injures en tout genres. Cela faisait partit de l' entrainement, je devais apprendre à faire abstraction de tout sauf des faits et gestes de mon adversaire. Seulement aujourd' hui je n' étais vraiment pas d' humeur. Je me serais bien jeté sur lui et lui aurait crever le bide avec une bonne longueur d'acier...

Malheuresement, perdu dans mes pensées comme je l' étais à ce moment là, je fut particulièrement mauvais.
Au moment ou outrapassant toutes les consignes, je m' élançais pour frapper, je perdis l' équilibre...
Et me retrouvais au sol, couvert de bleu, mon épée gisant à 5 mêtres de là dans l' herbe.
Cassegrain se mit alors à me donner des coups de pieds en m' injuriant de plus belle.
Ca aussi cela faisait partit du jeu, il m'avait clairement prévenu lors de notre premier entrainement: << Si tu te montre faible, je n' aurais aucune pitié. Dans un combat, la moindre seconde d' inattention et c' est la mort. Je ferais donc en sorte que tu t' en souvienne >>
Il ne faisait donc rien de plus que de tenir parole. Cependant je devais être chanceux, car cassegrain était trés communicatif ce jours là: en me battant il me causait fleurette.
- <<pauvre larve, immonde pourceau>>
- << a t on déjà vu pareil loque humaine?>>
- << ma grand mère fait mieux que toi! Et pourtant elle n'a qu'une jambe >>
etc...
Ce soir là je regagnais ma chambre ruminant ma rancoeur et ma douleur.

Deux jours plustard je fut tiré de mon lit par les cris paniqués des domestiques..
<< Un corps! On a trouvé un corps enterré dans le jardin! >>
Je me levais curieux et me rendit sur place.
La terre lui rentrait dans la bouche et les vers de terre lui sortaient par le nez et les oreilles.
Ses poignets autrefois si blanc portaient cruellement les marques de la corde qui les lui avaient lacéré, pas moins de 3 mêtres de cordes lui liaient les bras et les pieds, une serpière entière lui sortait du gosier!
C'est que sous cette masse de graisse elle en avait de la force la chélma et quelle voix! A se faire lever les morts!
Son crane défoncé témoignait qu'il avait fallut pas moins d'une dizaines de coup de pelle pour qu'elle arrete de gigoter.
Cassegrain pourra dire ce qu'il voudra, mais nul doute: j'étais en forme ce jour là!

J'avais eu ma revanche pendant qu'elle tartinait son pain dans le sellier; son péché mignion: se goinffré toute seul a l'insu des commis de cuisine.
Elle m'a donnée du fils a retordre la bougresse, mais j'étais content du résultat. J'aurais du l'entérrée plus profondement, je ne m'attendais pas a ce qu'ils la déterrent aussi vite .. mais bha qu'importe!
Qui se soucie d'une vulgaire roturière ? Et de là à accuser un noble de ma condition, ho la ! Non! Ils avaient trop peur pour cela.
Ce petit incident me fournit une nuit de répit, mais le visage de Morgane revient hanté mes nuits dés le lendemain.
Ou était elle?
Que faisait elle?
Ourdissait elle quelque chose?
Se moquait elle de moi?
Autant de question plus invraissemblable les unes que les autres que me chuchotait mon esprit.

Ce n' est que plusieurs semaines plustard, que je fini par la retrouver, et ce par le plus grand des hasards;
lorsqu' un enfant est en âge de se débrouiller seul, Il est coutume de dire qu' il "quitte son nid"...
Dans le cas de Morgane, on ne peut pas dire qu' elle ait volée trés loin.
Elle s' est plustôt écraser au sol, parmi les communs, réalisant ainsi ce destin inéluctable, qui attend immanquablement toute fille assez jolie, sans le sous, attérissanti dans une ville de soudards: la prostitution.
C'était un soir comme les autres. Je sortais d'une de ces auberge louche que j' avais pris l' habitude de fréquenter, passablement ivre, quand je l'aperçu sur le trottoire.
Elle se tenait là, tête baissé, les yeux fixant le sol; si je ne l'avais pas cotoyé pendant pres de 5 ans je crois bien que je l'aurais prise pour une morte: elle était maigre, décharnée à en pleurer, plus sale que le sol qu' elle foulait de ses pieds et outragesement fagotée d'une vieille tunique que meme un sans abris aurait refusé ...
Et pourtant ...
Je la désirais comme jamais.

Depuis je la revis tout les soirs; de par ça condition elle ne pouvait me refuser, mieux: sa déchéance l'amplissait de honte. Cette idiote malgré les privations, malgré les coups et les corrections, ne pensait encore qu'à sauver l'honneur de sa famille.
Alors même que j' étais le seul résponsable, elle me suplliait de ne pas révéler sa situation à ses parents et pour ce faire elle achetait mon silence jour apres jour, ne me refusant rien. C' était risible, on aurait dit une mauvaise pièce de théatre.
Sans nul doute un cauchemard, que dis je? Un enfer pour elle... le paradis pour moi!
Trois mois ... trois mois de pure délices!

Cependant, toute les bonnes choses ont une fin et j'en voyais venir le terme: la mère éffondrée par la disparition de sa fille, mis fin à notre liaison.
Le père, lui même submergé par le remord, en oubliait ses devoirs et n'assurait plus son rôle de seigneur.
Les brigands se faisaient de plus en plus nombreux dans la région, alors que mon oncle n'avait même plus la force de commander au plus insignifiant des pages.
La discipline se relachait, et les troupes misent en jachère, sans personne pour les diriger étaient incapable de mettre un terme aux raids qui se multipliaient dans la région.
Bien plus préocupant était cependant l'effet bizzare qu'avait le chagrin sur le couple: jour après jour la douleur de leurs perte réussissait là ou quatorze années de vie commune avaient échouées, elle les reunissait. Combien de temps avant que la mère ne finisse par craquer et n'avoue toute l'affaire à son mari ?
Je l' ignorais.
Je me devais d'agir, et vite.

Partie 5

Cela faisait un petit moment que je m' interrogeais sur la population grandissante de brigands dans la région.
J' ai mené ma propre enquète, et découvert qu' ils étaient en fin de compte des résidus d' une armée autrefois contrôlé par le Zhentarim.
Cela faisait des lustres que ces soldats n' étaient plus payés. Sans un chef suffisament fort pour les discipliner, ils érraient par petits groupes dans les campagnes, reproduisant la seule chose qu' ils savaient faire: piller, tuer et violer.
Le fait qu' ils soient assez loin du secteur controlé par les Bainites s' expliquait facilement: ils avaient tous peur de tomber sur une patrouille et finalement être arrétés comme déserteurs.
Toute cette racaille se deversait donc dans notre région, attiré comme des mouches sur un fruit mûr.

J'en retrouvais des spécimens jusque dans les tavernes et les auberges que je fréquentais la nuit.
Qu' aurait dit mon oncle s' il avait su que les brigands s' étaient installés juste sous son nez ?
Entrer en contact avec eux ne fut pas difficile. Leurs promettre monts et merveilles non plus. Les richesses fictives que possédait le château excitait leurs imagination.
Il m' avait suffit d' une petite ballade, et d'une petite dose de comédie, pour les convaincre que l'attaquer était la meilleure idée qu' ils aient jamais eu.
Je me fis passer pour un bâtard. Suffisement noble pour expliquer ma présence au château et ma connaissance des lieux, suffisement louche pour mériter leurs confiance.

Le plan était simple, je devais distraire les gardes en faction, pendant qu' une dizaine d' entre eux, ce glissaient à l' intérieur, en utilisant le conduit des latrines.
Cependant cela ne suffisait pas. Mon oncle qui n' était pas complétement stupide, avait fait mettre une grille au bout du conduit, pour empecher ce genre d' intrusion.
Seuls certain domestique en possédaient la clef.
En réalité, la sécurité faisait défault. Nul n' avait envie de vider les excréments de la quelques centaines d' âmes qui vivaient en permanence au château.
Lorsque les domestiques pouvaient se décharger de cette corvée, ils le faisaient avec joie. Subtiliser la clef de la grille fut un jeu d' enfant. Personne ne s' en souciais vraiment, et celui qui en avait la charge fut bien trop heureux d' avoir une excuse pour tirer au flanc.
Une fois mes nouveaux amis et moi en position, nous nous mîmes à éliminer les gardes en faction prés de la première enceinte les uns aprés les autres.
Puis cela fait, nous abaissâmes le pont levis et laissâme entrer le reste de nos camarades.
Une fois l'alerte donnée, il était déjà trop tard. Nous étions cinquantes et avions déjà égorgé la moitier des gardes de la place forte (la pluspart dans leurs sommeil). S'ensuivit alors une mélée généralisé.

J' évitais le combat lorsque s' était possible, attaquant dans le dos lorsque cela était faisable, ne menant de combat frontal qu' en dernier recour. Par chance, nous avions l' avantage du nombre.
Aussi, bien souvent je me retrouvais entouré d' alliers. Bien entendu j' étais aussi bien entrainé qu' un garde du chateau.
Seulement, je n' étais pas dupe: ils avaient l' éxpérience du combat, moi pas.
Je n' étais nullement préssé de mourir, aussi je me fondais dans l' ombre et rasais les murs dés que possible.

Comme dans toutes les batailles, il y eu ce soirs des moments mémorables que je n' oublierais jamais.
En particuliers mes deux mentors: Eldwin et Cassegrains qui marquèrent sans aucun doute les esprits ce soir là, chacun à ça manière.
Eldwin était sur les remparts, acculé, ils tenait en respect une dizaine de brigands à lui tout seul.
Il m' avait fait apprendre des chants, en m' expliquant que joué avec la bonne intonation et la gestuelle approprié, on pouvait facilement contrôler les esprits.
Je le savais doué, mais s' est la première fois que je le voyais à l' oeuvre.
Les malfrats étaient fascinés par ça voix, ils suivaient avidement chacun de ses gestes, la bouche grande ouverte.
J' étais dans la cour à ce moment là et caché, j' observais son manège. J' étais stupéfait, s' était vraiment impressionant.
Malheuresement pour Eldwin, je ne fut pas le seul à le remarquer. Un brigand s' en était aperçu lui aussi. Je le vis se boucher les oreilles avec des morceaux de cire, avant de grimper rapidement les marches qui menaient aux remparts, et de se glisser discrètement dans son dos.
Eldwin tout absorbé ,qu' il était par ça préstation, ne le vit pas venir. Le brigand n' eu aucun mal à le saisir et à l' immobiliser au sol.

La suite fut terrible pour Eldwin. Les traits des elfes sont fins et graciles, leurs voix fluté, et leurs chevelure abondante leurs donne parfois des airs éffeminés.
Enfin il faisait nuit noire. Est ce ça longue chevelure doré, ou ça voix qui mis le Zenth dans l'erreur? Je l' ignore.
Toujours est il qu' il se mépris sur son sexe, voyant une barde là ou il y avait un barde.
Cependant, sous les glapissements indignés d' Eldwin et les rires gras de ses camarades, il fini bien par s'en rendre compte .
Et c' est sous ses jurons qu' Eldwin à moitié défroqué, fut jeté sans ménagement par dessus les crénaux, et vint brutalement repeindre l' allée principale.

Tout aussi intéressant fut le combat que menait Cassegrain pour son seigneur et maître: fidèle à son post, il défendait le couloir menant à la chambre seigneurial.
Dejà trois assaillants gisaient a ses pieds et il tenait en respect le quatrième: une véritable montagne de chair et de muscles .
Je m'appretais moi même à l'engager au combat quand il me fit signe de m'approcher et de me placer dans son dos...
Cet idiot me voyait dans son camp.
Je fis ce qu'il attendait de moi, puis le voyant absorbé dans son combat contre le colosse je pris discretement une lance qui gisait au sol et lui plantait dans la cuisse en y méttant tout mon poid.
Cependant, Cassegrain n'était pas Pepsi..
Il parvint je ne sait trop comment a se retourner, hurlant encore sous la douleur et m'aurait égorgé d'un coup d'épée, si le zenth plus rapide n'en avait profité pour le saisir à deux mains.
La suite fit beaucoup rire la brute épaisse, qui s'amusait à lui racler la tete contre le mur ou peu à peu s'éffritait son identité a l'instard d'un gruyère sur une rappe à fromage.
C'est ainsi que cassegrain laissa une trace indélibile en ce monde: un gros patée brunâtre, que les domestiques malgré tout leurs éfforts, furent incapable d'enlever par la suite.
Mon oncle et son épouse furent retrouvé dans la chambre; nue comme le jour de leur naissance, lui essayant vainement d' enfiler son plastron, elle cachant du mieux qu' elle pouvait ça nudité sous les draps .. apparement la réconciliation était toute proche et je me félicitais d'avoir agit avec promptitude.

Leurs sorts fut décidé a l'aube dans la cour.
Mon oncle serait coupé en morceaux et donné aux chiens, quand à sa femme elle était bien parti pour se faire violer par tout ce qui restait des assaillants. Il faut dire que la pluspart n' avaient connu que des filles de joie, dans des auberges miteuses. Son rang et ça peau vierge de toute maladie, en faisait frémir plus d' un. Elle fit cependant la bétise de se défendre, mordant jusqu'au sang l'un des zenth.
Je m' en souviens comme si s' était hier. Furieux, ils l'ont jeté dans le puits. Elle appelait mon nom. Sous ses cris et appels desespéré, ils l'ont finalement achevé en démantelant les pavés qui constituaient la margelle et les lui ont lancé à la figure.
Au final elle sauvegardait son honneur, mais périssait lapidé et noyé.
Mon oncle m'aperçu alors dans leurs rangs et un éclair de lucidité finit par lui traverser l'esprit; il m'injurait encore quand ses bourreaux se mirent au travail.
Qui l'eu cru? Un seigneur de son rang avoir un vocabulaire aussi large en matière d'obsénités...

Quoiqu'il en soit ma vie pris un nouveau tournant: j'avais enfin les mains libre et les coudées franches.
Je pouvais désormais faire ce qui me plaisait.

Merci de ne pas oublier ce qui a été dit avant et de censurer les passages horribles...

J'ai envoyé le texte a Musyne elle n'a rien eu a redire là dessus.
Comme je l'ai écrit plus haut je lui envoie toujours une copie avant de poster afin d'éviter tout malentendu.

S'il y a un passage qui te semble particulièrement choquant dans ce que j'ai écris, fais le savoir et je le censurerais.

[en attente ... de rez]

(Message édité)