Guerre contre les duergars?

[hrp : n'arrivant plus à me logger et comme il se fait tard...]

Alors que la ville se préparait à subir l'attaque des duergars, un petit groupe composé d'Amaniel, Eorl, Feltorn et Demether rentrera en ville en provenance du vallon.

Demether ira trouver le capitaine de retors expliquant qu'il avait réussi à obtenir une trève de 11 jours avec les duergars.

Ajoutant que si la ville ne cédait pas aux exigences des duergars d'ici là, plus rien ne pourrait empêcher la guerre.

Il rentrera ensuite à la tour rassurer son apprentie sur son retour sain et sauf...

L'apprentie sera effectivement rassurée de le voir sain et sauf, beaucoup moins concernant la suite des événements à venir...

Alors que Lya s'éloigne du tumulte des Hommes, elle s'inquiète de la Montagne en colère. Ce n'est que dans les légendes qu'elle a entendu parler des Nains Gris, mais elle comprend que l'avertissement de la Montagne n'est pas à prendre à la légère.

Elle ne comprend pas toutes les subtilités des évènements passés, des rumeurs qui courrent et traversent la Cité tel un incendie. Seuls quelques uns ayant pu communiquer avec elle, elle n'a que des bribes d'information. Ce dont elle est certaine, c'est que les Hommes en armure qu'elle a pu voir semblent être directement responsables.

De retour dans la forêt de Saerenia, Lya prie pour le salut de tous.

Peu de temps après l'arrivée des deux hommes, on a pu voir une Tieffeline se rendre à la caserne pour s'entretenir avec le capitaine De Retors.

Par la suite, on a pu voir la même Tieffeline explorer les environs et à l'intérieur de la ville, s'intéressant à la configuration des lieux et prenant parfois quelques notes.

Zook avait rencontré Alice et Aurore prés de l' auberge .
Il les avait emmené au trébuchet qu' l continuait de démonter.
Il leur avait expliqué ce qu' il faisait et comptait faire.
Harad passant par là il lui avai dit qu' il attendait toujours les ingrédients qu' il lui avait demandé .
Aprés une longue discussion sur les possibilités de bataille contre les duergars Zook et Alice était parti à la recherche de bras .
Ils rencontrérent Cryss en pleine discussion avec Aurore .
Ils parlèrent un moment et Cryss leur expliqua pourquoi il avait un sort de défense en permance sur lui .

Ensuite d' une façon péremptoire et maladroite Zook proposa à tout le monde de se rendre à la tout blanche . Cryss , Zook et Harad y allérent et rencontrérent Eorl en chemin qui alla avec eux . Une fois sur place ils se renseignérent sur la possibilité de visiter le laboratoire de la tour . On leur expliqua que cet accés était réservé aux mages affiliés .

Spoiler:

Ensuite les 4 se rendirent à l' atelier prés du palais . Là Cryss se livra à quelques expérience , Zook ramassa un peu de souffre , Eorl donna son avis sur la méthode à employer et Harad tripota les cornues du gnôme Riko .

Spoiler:

Une fois ces délibérations finies , chacun repartit à ses occcupations et Zook alla se reposerà l' auberge .

Le capitaine de la milice et les membres les plus anciens de celles ci proposent de nouveau des entrainements pour la population.

Les décombres sont rassemblés en barricades, pour gêner la progression possible d'envahisseurs dans la cité.

De nouveau, les hommes s'entrainent à des techniques de combat plus que de surveillance, des cordes sont installées sur les remparts, et les hommes s'entrainent à les quitter rapidement mais en ordre, sous les tirs de couvertures d'archers.

Eorl faisait passer la nouvelle. Il voulait rassembler des volontaires pour faire face à cette guerre éventuelle. Il ne voulait pas la provoquer, mais y réagir au cas où Demether ne parviendrai pas à l’empêcher.

Toute personne désirant combattre les nains gris était bienvenue aux coté de l’elfe.

La soirée fut riche en informations pour Alice. Pour être passée plusieurs fois devant le principal accès des Duergars, elle savait que defendre la ville par ce coté ne représenterait pas grandes difficultées. Saboter le pont avec les bombes dont lui avait parlé Zook où à la scie tout en préparant quelques éboulements à hauteur de l'arène, le tout agrémenté de pièges devrait suffire à protéger la ville.

L'autre accès, en revanche, était plus délicat, bien que plus long pour les duergars et plus exposé. Par chance, Myskel accepta de la guider afin qu'elle puisse repérer le chemin que devrait prendre les Duergars s'ils décidaient d'attaquer par ce coté. Là encore, un pont devrait être franchit par les Duergars, enjambant une rivière au courant si violent qu'il serait pratiquement impossible de le traverser à la nage. En revanche, le pont étant bien plus large que celui au nord de Cassandre, il serait impératif de le faire sauter et Alice craignait qu'il ne faille au moins deux bombes pour en venir à bout.

Si les deux ponts venaient à chuter, il serait peut-être possible de couper la route aux Duergars, évitant de trop gros affrontement et peut-être même épargner la cité.

Sur le chemin du retour, la Tieffeline nota avec intérêt un passage étroit et en pente plutôt raide, peut avant la cité. Une armée devrait passer en rang serrée et en faisant attention à ne pas aller trop vite. Une chute au sommet produirait un effet domino des plus divertissant, mais également des plus catastrophique pour les Duergars, donnant l'opportunité d'une attaque surprise. Et Alice pensait à diverses manière de provoquer une chute dans les rangs tant le terrain s'y prêtait. Elle demanda également à Myskel d'intervenir en sa faveur auprès de Démether pour soliciter son aide dans la défense de la cité. De plus, la connaissance avancée de l'Halfeline pour les environs et l'alchimie donnait bon espoir à Alice de pouvoir réunir rapidement les ingrédients demandés par Zook pour fabriquer les bombes.

De retour en ville après avoir discuté stratégie avec Aurore, Alice et son amie se rendirent au Temple pour rencontrer Hiroko. La jeune femme leur prêta une oreille attentive et accepta de tenter de coordonner les soins en prévision de la guerre, afin que tout blessé puisse être soigné au plus vite.

Epuisée par sa journée, la Tieffeline nota soigneusement le résultat de cette journée d'observation et de planification préléminaire avant d'aller se coucher, notant d'organiser au plus vite une réunion avec Zook et toute personne désirant apporter leur aide afin de paufinner leur plan et le mettre en chantier.

Junzo regardait tout le monde s'affairer contre la venue des duergars, lui même essayant de trouver des solutions pour l'arène et ses habitants temporaires.

Mouai, au moins on est en hauteur, ils risquent pas de venir creuser sous nos pieds ces rats des tunnels.

Mark Antoine s'affaire fébrillement dans sa chambre a l'auberge.

"Ha là, il a décroché le ponpon le caporal !"
"Une guerre ouverte avec les deugars! Le pire c'est qu'il n'a meme pas été mis à pied, non monsieur! Va savoir ? On va peut être lui remettre une médaille pour service rendu... "

Il s'arrête devant une chemise, la regarde d'un oeil critique , puis la compare avec une autre..
Finalement il range les deux dans son sac.

"Et pourquoi pas une céremonie tiens? Il se feront une grande reception et pendant que les nains attaqueront les defenses ils trinqueront tranquillement à la santé du prêtre ! "

Il s'arrete et se masse les tempes.
Surtout rester calme.. Apres tout les deugars restent des nains: petit, et lents. Inutile donc de s'affoler plus que necessaire, si guerre il y a, on les verra arriver de loin et là tu auras tout le temps de t'éclipser

Il soupire contrarié.
C'est qu'il commencait a s'y habituer à cette chambre ... certe c'est vulgaire, sale et mal entretenu.. mais entre ça chambre et les horreurs d'un voyage à travers cette île pleine de sauvages, c'était tout vu.
D'un autre coté... l'errance ou la mort dans la mise a sac de la ville.. là aussi le choix était simple.

Précipiter les choses ne servirait pas ses intérêts: il ne tient pas spécialement à passer pour un lâche aux yeux des citoyens.
Mais prudence est mère de vertu dit on..

Il maudit encore une fois Faelar, ces ancêtres et ça descendance, avant de finir ses bagages en vu d'un départ précipité.

Aujourd'hui, on a pu voir une jeune Tieffeline rousse accompagnée de volontaires du coté de l'Arène, occupée à empiler en équilibre relativement précaire toute sorte de rochers en hauteur, de manière à ce qu'une bonne poussée fasse tomber le tout en contrebas, permettant d'écrabouiller tout Duergard se trouvant en dessous et de bloquer le passage avant qu'ils n'atteignent et la ville, et le chemin montant à l'arène.

Aujourd'hui encore, Alice et quelques volontaires poursuivit sa tache pour préparer la défense de la citée.

La guerre ne le concernait pas. Eorl retournera dans la maison au milieu de la forêt, avec sa famille, si le Bosquet le laisse faire.

Certaines personnes auront vu le forgeur nain fabriquer un grand nombre de clous et piques en tout genre ainsi qu'une sorte de caisse métallique à paroi épaisse...

Un homme en haillon entre dans l'arène, se mêlant au reste des réfugiés et parlant, parlant beaucoup du nouveau village, disant qu'il irai sans doute plutôt que de rester ici à attendre la mort, parlant des barrières naturel qu'offrirait un tel village, de la chance de survivre en étant éloigner des duergars, qu'ils n'iraient jamais les chercher la bas.

Après quelques temps passé avec eux, il se leva et reparti, d'après les rumeurs que l'on a pu entendre par la suite, au sein de l'arène, il se serait installer la bas afin d'aider à la construction du nouveau village.

Valesti observa les uns préparant leur guerre puis les autres souhaitant vivre ailleurs.

- La ville est peuplée d'idiots inconscients, certains ont de la bravoure mais manque d'intellect pour simplement éviter cette guerre, quand aux autres, ils sont trouillards et s'affèrent à une destinée aussi utopique que funèbre.

Elle erra ainsi dans la ville et ses alentours et hésita un instant à suivre quelqu'un dont elle a grande estime, Eorl...
Il marchait alors vers la sortie Nord, dépité. Valesti le compris.
Où qu'il aille, ça ne pourrait être pire qu'ici.
Finalement, elle si dit que ça ne la regardait pas.

- Autant que je rentre, j'vai me boire un petit vin blanc, ça me détendra.