[Validé Prêtre Guerrier] El de cheer

Nom: El de cheer
Classe: guerrier 4, prêtre 7, champion divin en évolutif
Alignement: Chaotique bon (Aimerais que son alignement soit modifier in game pour pouvoir jouer ses niveaux de paldin de

Suni en chaotique bon)
Fo:14
Con:14
dex:10
int:13
Sag:13
cha:15
Dons: Expertise du combat, relfexe surhumain.
Personalité: jolie coeur
Domaines de pretrise envisagés: Chaos et guérison.
Age: 25 ans
Description: (voir in game)

L'histoire:
Né dans la petite ville de cheer, El fut dès son plus jeune age un enfant superactif.
Ca curiosité maladive et sa manie de fourer son nez là ou il ne fallait pas, faisait le désespoir de ses parents qui le retrouvaient:
-Percher sur les abres a l'age de 10 ans << Maman! Maman! J'arrive plus a descendre!>>
-Dans les cachots a l'age de 12 ans << Hein? Mais non je voulais pas le tuer! Je voulais juste le tondre ce chien.>>
-Sous les jupes des filles à 16 ans << Papa? Y a le père à Terez qui veut te voir..>>
Craignant qu'il ne devienne selon les propres dire de ça mère un "voleur-déliquant-crimino-pervers"(encore qu'elle se demandait si le mal n'était pas déjà fait), ils décidèrent de l'envoyer une semaine ou deux dans le temple de loviathar le plus proche, histoire de faire taire une bonne fois pour toute les démons qui possédaient son corps.
Le père emmena donc son fils dans un voyage qui dura deux jours et deux nuits, à l'issu duquel ils atteignirent, non sans mal (El ayant voulu s'enfuir dés le premier jours), sur la cité de Sasumi.
Trainant l' ado turbulant qui se débattait par le col, il l'enmena jusqu'au quartier des temples.

Heureusement (ou malheuresement, selon le point de vue duquel on se place), le père payait sa vieillesse par une chute dramatique de ses cheveux, mais aussi par un début de cataracte. Le sort voulut qu'il confondit le fouet à septs branche avec les cheveux de la déesse de l'amour.
Lorsqu' un prêtre se présenta, le pauvre homme ,éxcédé par son fils, était à bout.
Il ne posa pas de questions.
Il se contenta de signer les papiers qu' on lui donna et paya directement les droits au temple.
Puis il s'en fut, sans un regard en arrière, ni un au revoir à l'intention de son fils.

El n'en croyait pas ses yeux.
Contrairement à son père, il avait tout de suite remarqué que celui-ci s'était trompé. Mais bien entendu, il s'était abstenu de lui en faire part.
Il avait toujours cru que les prêtres de Sunie étaient en quelque sorte des hommes aux manières éfféminés, qui passaient leurs temps à bavarder au milieu des fleurs. Si ses premières impressions étaient exactes, il n'aurait jamais imaginé qu'ils soient aussi bien roulé!
Devant lui s'étalaient des hommes en toge rouge, légèrement fendu sur le devant, laissant entrevoir, qui un torse légèrement velu, qui des tatouages resplendissant, mais tous exhibaient des abdominaux issus tout droit d'un fantasme de pucelle.
Leurs physique agressif, mis en valeur par des vétements qui semblaient leurs coller à la peau, leurs regard droit et fier, lui donnaient l'impression d'être en présence d'un rassemblement de héros.
Une attitude compensé par des manières délicates et des rires francs, d'un blanc éclatant.
Et que dire des filles?
Vétu de longue robes fendu et de corset vaporeux et largement découvert, elle déambulaient gracieusement sur l'herbe, vétu de sandales doré ou tout simplement pied nu.
Elle passait dans les rangs, échangeant quelques paroles et parfois même étouffaient un rire ingénu masqué par une main fine, douce et parfaitement entretenu.
Bref:
Il se sentait sale, stupide et misérable.
Il avait honte de lui, honte d'avoir un corps aussi contrefait.
Panique d'un cafard face à la lumière...

Mais l'une des premières leçon que l'on lui appris, fut que la beauté ne se limite pas à la beauté physique et que la seul différence entre les individus, se situait dans leur capacité à la mettre en valeur.
Un des devoir d'un prêtre de Sunie était de les aider dans cette voie.
C'est durant cette période qu'il appris non seulement tout ce qu'il fallait savoir sur la philosophie humaine, la notion de beauté et de ses plus fidèles alliers : les cosmétiques .
On lui appris entre autre comment pleurer sans faire couler son maquillage, comment se protéger des odeurs les jours ensoleillés, mais aussi toutes les subtilitées du sourire, comment s'exprimer et se sentir à l'aise quelque soit la situation.
Bref: si certains aspects peuvent sembler futile à première vu, ils avaient pour but de rafermir le controle des novices sur les expressions du langage corporel.
A peine Deux ans plustard, il était en mesure de s'intégrer à peu à n'importe quel groupe en société.
Il franchit donc la première étape de l'enseignement sunite: avoir un beau corps, et apprendre à l'aimer.
C'est apres que débuta les enseignements sur la nature divine de Suni et avec elle la notion d'amour véritable...
Durant cette période plus ardu, qu'il appris comment entrer en contact avec la déesse par l'intermédiaire de ses sentiments profond.
Pour cela, il lui fallut connaitre et aimer les autres, il appris a "aimer les autres beau corps".
Les élèves apprenaient tout l'art du flirt et si El y eu quelques sucess limité, il reçut surtout des échecs monumentaux.
Les filles ne le trouvait pas suffisement sincère et ses déclarations passionées ne passaient au mieux, que pour des poèmes joliment préparés.

Il en fut profondement troublé.
A tel point, qu'il se jeta à corps perdu dans l'étude des écrits saints afin d'y trouver une réponse à ses échecs.
C'est durant cette période que les éleves faisaient en général l'expérience de leurs premiers sorts divin.
El eu moins de mal avec ces notions et il fut bientot en mesure de lancer des sorts simples, qui prenaient généralement la forme de sorts de soins.
La cinquième année se basait sur la notion de beauté intérieure, les novices apprenaient à la reconnaitre chez n'importe quel individus.
Et gagnait en puissance. Cependant son demi-échec à aimer tout les beau corps ne cessait de le troubler.
Il en compris finalement le sens à la fin de l'année.
C'est là qu'il le vit...

BG en cours d'étude....

(suite)

Le chevalier robert, défenseur d'amour et de beauté, paladin au service de sa grace fit une entré fracassante sur son superbe étalon blanc.
Le cavalier était à l'image de sa monture: de long cheveux blond soyeux, venaient encadrer son visage parfait, ses muscles puissants tendaient les courrois de son armure, ses mains lestes tenaient l'épée et l'écu comme personne.
Robert donnait l'impression d'être une bête à peine domestiqué.
Cette beauté sauvage faisait chavirer le coeur de toutes les filles dans un torrent de désir et il engloutit El dans son sillage.
Robert, venait au temple pour y prendre et former un apprentit.
D'entre tous les volontaires, El fut le plus convainquant.
Jettant aux orties cinque années de formation, il fît ses adieux, et suivit le chevalier.

Il n'avait qu'une vague idée de ce qu'était un paladin, et n'était pas d'un naturel violent.
Pourtant, il suivait ce que lui dictait son coeur et s'était tout ce qui importait.
Au début il s'occupait simplement du matériel: fourbissant les armes de Robert, entretenant son cheval ...
Avant les combats il l'équipait de son harnois , ne pouvant s'empecher de détailler son corps sous ses moindres coutures..
Robert curieusement ne se doutait de rien, alors qu'il était pétrifié devant le spectacle de ça quasi-nudité il lui demandait simplement:
<< El ? Quelque chose ne va pas?>>
Puis aprés un instant de silence.
<< Par la déesse! C'est une pustule c'est ça?>> assenait-il avant de s'inspecter avec minutie.
El devait alors trouver une excuse pathétique afin de masquer son embarras << heu .. Non non rien .. c'est les petits pois d'hier, jai du mal à les diggérer>>.

Quand Robert avait affaire à rude partis, El était mort d'inquiétude à l'idée qu'il puisse ne jamais revenir, il prieait alors ardement la déesse afin de le garder de tout mal.
Robert sortant d'un combat particulierement éprouvant contre une bonne vingtaine d'orques, annonca simplement : << je vais avoir besoin de quelqu'un pour protéger mes arrières, tu commences ton entrainement aux armes demains>>.
Bien qu'il fut sans doute pour lui le meilleur professeur du monde, El n'apprenait que trés lentement.Intimidé, incapable de lui ouvrir son coeur, le jeune homme ne pouvait même pas se résoudre à abimer ce corps qu'il trouvait sublime.
<< Mais qu'est ce que tu regardes comme ça à la fin?>>. Un coup de vent venait d'ouvrir sa veste devoilant son torse. Hypnotisé par cette vision, El était alors incapable de se battre correctement. Irrité, Robert l'attaquait de plus belle lui assénant des coups violents (Qu'est ce qu'il était beau lorsqu'il se mettait en colère!).
El se défendait alors du mieux qu'il pouvait parant et esquivant ces coups, afin de jouir au maximum de ce spectacle.
Tel fut leur relation pendant près de deux ans.
Si sa progression dans le domaine des armes était lentement, il apprenait tout de meme par amour pour lui. Il developpait aussi un don particulier pour les soins.
Il faut dire qu'il y avait matière à pratiquer.
Il ne se passait pas une seule mission, sans que Robert ne revient avec son lot de bosses et de plaies.
Ses sorts de soins devenaient rapidement insufisant, aussi El du en revenir aux bonnes vieilles méthodes: panser les plaies et à soulager la douleur. Son expérience en matière de secourisme progressaient de jour en jour.

C'est au terme de leurs seconde année d'érrance qu'ils arrivèrent à la ville de Chapre.
S'y déroulait alors une fête en l'honneur de Sunie qui devait durer 3 jours.
De quoi laisser le temps au chevalier et son apprentit de se reposer un peu. Ils prirent une chambre à l'auberge et El tout heureux de ces festivité demanda quartiers libre a son tuteur, qui les lui accorda de bonne grace.
Il visitait la ville, joyeux face à tout ces couples qui faisaient la fête et se bécotaient sur les bancs publique.
Mais arrivé sur la place principal une autre scène l'attendait:
Deux beau garçon se trainaient au sol tandis qu'une dizaine de personnes en colère leurs lancait des pierres les injuriants de tout les noms!
<< Monstres!>> << Le jour de la fête de l'amour en plus! >> << Allez vous tripoter ailleur bande de déchets!>>
Il appris que les deux jeunes hommes étaient bien connut de la ville; vivant en reclu a l'écart, ils avaient été rejetés par les habitants en choisissant de s'unir par un mariage secret.
La ville très à cheval sur les moeurs ne supportait pas leurs existance et ne pouvait accepté ce qui à leurs yeux, apparaissait comme une monstruosité.
El se rememora ses propres relations avec Robert et une colère froide s'empara de lui.
Il vint se placer au centre du cercle, s'interposant entre les habitants et les deux victimes. Il tenta tout d'abord de les raisonner, récitant l'enseignement qu'il avait appris au temple: << Sunie ne fait aucune
distinction entre homme et femme ! L'amour peut revetir bien des formes ! Vos préjugés salissent ces principes fondamentaux! etc..>>
Mais la foule en colère ne l'écoutait pas, ivre de rage elle n'en lapidait les pauvres garçons que de plus belle.
N'ayant plus d'autre option, El se saisit d'un bâton et entrepris de rosser à son tour les 10 citoyens.
Robert sortant de la foule, vint prendre position à ses coté l'arme à la mains.
Les habitants se dispersèrent et les deux garçons furent envoyé au temple de Sunie ou des soins leurs furent prodigués.
Robert était heureux: << Enfin! Je savais que tu avais l'âme d'un paladin!>>
Il lui expliquait alors qu'il venait là de faire son premier acte en temps que soldat au service de Sunie.
<<[...] bon certe, ta maîtrise des armes n'est pas encore complete mais l'essentiel est là>>
<< Continue comme ça et dans un an je me ferais un honneur de te remettre tes grades>>.

Depuis ce jour El participait aux missions de Robert l'arme à la main, protegeant ses arrière.
Mais celui ci, intrétable sur les conflits d'amour, ne pouvait supporter que les préjugés et la bêtise l'emportent sur le coeur, il fourait donc son nez dans toutes les histoires d'amour, les peines de coeur ou les unions, protégeant les relations "scandaleuses" et ce parfois au péril de ça vie.
Il se souvient d'un mariage arrangé ou il avait aidé la jeune marié à fuir avec l'élu de son coeur.
Le beau-père avait alors mis ça tete a prix et ils avaient du faire face pendant plus d'une semaine à l'assaut répété de citoyens cupides.
Robert faisait de son mieux pour calmer les esprits.
Il se disait, qu' El était encore jeune et que la compréhension viendrait avec son status de guerrier saint.

Mais Robert se trompait, El ne serait jamais un paladin au service de Sunie.
Fidèle à son enseignement religieux et a ses convictions, il méprisait les lois et suivait ce que lui dictait son coeur.
Robert le laissait faire néanmoins, espérant toujours qu'il se rende compte de ses erreurs et finisse par changer ça façon de voir les choses.
El de son coté en souffrait énormement, il ne comprenait pas pourquoi il n'arrivait pas a développer les traits carractéristique des paladins. Il hésitait, avait peur et doutait dans les moments ou il aurait du être calme et sûr de lui. Il n'arrivait pas à développer le moindre don de guérison spontané par imposition des mains et il ne semblait pas ressentir cette "grace divine" qui semblait protéger robert a chaque instant.
Lui qui voulait tant lui ressembler, il était entrain d'échouer lamentablement.
Là ou il aurait du y avoir un soldat béni de Sunie, il n'y avait tout au plus qu'un homme en arme ...et encore, un simple soldat sans l'agressivité et la hargne qui carractérisaient les bons combatants.

Une année suplémentaire et Robert lui dit tout haut ce qu'il n'osait s'avouer.
<< El écoute, tes convictions profondes ne s'accorderont jamais avec les devoir d'un paladin, il est inutile de continuer dans cette voie, tu n'y parviendras jamais>>.
El pleura en silence ce soir la.

Robert le ramena au temple, ou il retrouva ses fonction en temps que prêtre.
Seul face à ses échecs, il ne put jamais lui avouer ses sentiments.
Il se jetta alors à corps perdu dans la lecture des écrits saints.
Il ne comprenait pas; il ne comprenait pas pourquoi les paladins de Sunie, qui servaient pourtant l'amour et la passion, se laissaient ainsi enfermer dans un carcan de lois stupides. Comment pouvaient-ils rester les bras croisés lorsque l'amour était asservi à la justice et les couples oppréssés par quelques juristes à l'esprit obtu?
Aprés plusieurs mois de recherches, El n'avait toujours pas trouvé de réponses.
Il décida d'abandonner.
A défault de pouvoir comprendre, il se dit qu'il ferait peut-être mieux d'agir.

Changer les lois et les mentalités à lui tout seul était trés présomptueux de ça part.
Néanmoins il était décidé à tenter le coup.
Quoiqu'il arrive, il ne renoncerait pas.
Il se mit donc à parler avec les gens autour de lui, défendant ses idées avec les citoyens.
Il intervenait à chaque fois que s' était possible, même lorsqu'il se retrouvait seul contre une foule hostile, il ne lachait pas prise. Il savait qu' il était dans le vrai, aussi se défendait-il jusqu'au bout.

Un jour, il appris que Robert avait été affecté à une mission à proximité.
Lui et son apprentit devaient purifier un manoir hanté. Les citadins avaient aussi fait appel au temple, mais la pluspart des prêtres de son ordre n'ayant aucune expérience de terrain ne donèrent pas suite à cette suplique.
El se dit qu'il tenait peut-être là l'occasion d'avouer une bonne fois pour toute ses sentiments pour le chevalier.
Médusés, ses camarades le regardèrent préparer ses affaires.
Avec un demi-sourire, il les observait chuchoter entre eux, lançant de temps à autre un regard dans ça direction.
Peut etre voyaient ils en lui un grand guerrier ?
Si c'était le cas il risquaient d'être deçu.
Ces sur ces pensés négatives qu' El se mit en route.

Il avait peur.
L'endroit ne lui plaisait pas vraiment, les toiles d'araigné ruinaient ça coupe de cheveu et la poussière salissait son armure. Aucune trace de Robert ou de son apprentit.
Calant son épée sous son bras gauche, il essuya la sueur qui perlait sur son front.
Cet endroit ne lui disait rien qui vaille, il sentait le mal suinter dans les murs même du manoir. Il en avait la chair de poule.
Il devait absolument trouver un endroit pour se recoiffer et se dépoussiérer, dans le cas contraire si des morts venait à l'assaillir, ses pouvoirs en seraient affectés.
Il s'arreta face à un vieux miroir et entreprit les manoeuvres d'urgence: coups de brosse, coups de peigne et coups de chiffon.
Il n'arrivait toujours pas a exprimer ça beauté interieure, ses renvois en était affecter. Il devait donc compter sur ça beauté physique pour facilité la communion, cela le rendait terriblement vulnérable, mais il ne trouvait pas d'autres solutions à l'heure actuelle.
Alors qu'il s'occupait de ses bottes, le mirroir se déforma petit à petit et deux mains d'écumes en jaillirent.
El fut entrainé à l'intérieur.

Il jaillit brusquement de l'autre coté, face à une mer inconnu, qui s'étendait à perte de vu.
Dans son dos miroitait non plus un mirroir, mais un portail.
Ne comprenant rien a cette sorcelerie, il voulut retourner au manoir en repassant l'objet en sens inverse, mais au lieu de cela, il se retrouva sur la place d'une ville inconnue.

BG édité.

Etant donné que vous ne voulez pas entendre parler de paladin chaotique bon, j' ai préféré changer de classe, plutôt que de modifier ma façon de jouer rp.
A ce titre, je demande au staff la possibilité de reroll.
Les classes du perso IG ne correspondant plus à son BG.

Validé pour les classes de base.

Merci.

BG édité, j' aimerais abandonné ma classe de champion divin en évolutif.
Je me suis rendu compte qu'elle ne correspondrait ni au personnage, ni à ma façon de jouer.

Je préfère remplacer mes niveaux de champions divin en niveaux de prêtre.
En terme de rp mon personnage se fait une raison et enterre définitivement
ça progression dans la voie des armes.
J'en parlerais dans mon "journal".

Je passe en validé définitif alors.