[Validé][BG] Raine

Nom du compte nwn et forum : Ririn-K
Nom du personnage: Raine
Sexe: féminin
Race: humain
Age: 21 ans
Alignement: loyal mauvais
Religion: Loviatar
Classe: moine pur
Ordre monastique: Disciples du Bâtonnet Blanc
Armes favorites/autres: poings/Ki
Trait historique: Dévot
Caractéristiques au lv 1:
Force: 12
Dextérité: 14
Constitution: 14
Intelligence: 12
Sagesse: 15
Charisme: 12

Traits de caractère:
La voie qu'à suivi Raine la dotée d'un caractère en acier trempé et aussi froid que ce dernier. De nature calme et calculatrice elle affiche une foi et une volonté sans faille. Raine vit avec et dans la souffrance ainsi elle est capable de supporter maints tourments mais considère de ce fait que la vie doit et est douleurs, le reste n'étant que des signes de faiblesses.

Description physique:
Raine aurait put être charmante si elle n'abordait pas constamment un visage fermé, dur et tranchant comme une épée. Physiquement parlant Raine sans être une beauté fatal dispose d'un corps bien formé et équilibré sans doute aidé par un entraînement intensif ce qui lui vaut d'être couverte de plusieurs cicatrices pourtant peut révélatrice de la véritable voie de la souffrance.

Background:
Le destin aime parfois se complaire dans l'injustice et la cruauté tel ce jour fatidique où naquit Raine, fille de bonne famille elle apporta pourtant la mort suite à la longue et douloureuse agonie de sa mère lors de son accouchement. Son père marqué à vie par cet événement n'eut pas le courage ni la volonté nécessaire pour élever sa fille et la confia à un temple d'Illmater avant de se laisser emporté par la mort afin de rejoindre son aimée dans l'au-delà.
Le destin de la petite Raine semblait moins funeste que celui de ses parents cependant peut être aurait-il mieux fallut qu'elle meurt innocente et ignorante du futur qui se tenait devant-elle. Hélas elle survécut à l'adversité et se montra très dévouée, trop même. Peut être était-ce son subconscient marqué par la tragédie qui la poussait à venir en aide aux autres, toujours est-il qu'elle devient une adepte du temple dès son plus jeune age. Trompant la vigilance de ses tuteurs Raine semblait forte et capable de suivre une voie difficile celle d'aider son prochain, mais l'âme pure de l'enfance est fragile et ne peut affronter le monde des ténèbres.
Pendant de longues années pourtant elle supporta la vision d'un monde déchiré, cruel, gardant espoir qu'un jour il deviendrait meilleur, mais le sentiment d'incapacité, d'inutilité naissait et grandissait lui aussi. Tout finit par basculer à l'age de ses 8 ans lorsqu'elle offrit son aide à un misérable qui lui prouva alors de la manière la plus vil et abjecte possible qui soit que les bons sentiments ne sauve pas nécessairement les gens et encore moins celui qui les donne. Le monde sembla s'arrêter marquant sa perte d'identité, tout ce en quoi elle avait cru, son sang coula noyant son espoir, sa virginité disparu emportant ses émotions, son corps meurtris et son âme blessée n'était plus qu'un vide béant un vide qui devait être comblé. Alors que sa vie aurait dut être emportée à son tour, la noirceur du monde s'immergea dans ce réceptacle inespéré offert de la plus belle manière qui soit et lui offrit en retour un second souffle pire que la mort.
Guidée par un instinct corrompu Raine déambula dans un temple de Loviatar scellant ainsi son destin. Elle qui avait suivit Illmater subit les pires ignominies possibles et inimaginables rendant tout ce qu'elle avait vu et subit pour le plus merveilleux des bonheurs qu'elle aurait pu espérer, mais le traitement ne pouvait la tuer il devait la purifier, lui ouvrir les yeux, la rendre forte. Ainsi Raine obtenu une nouvelle vie aussi bien au propre qu'au figuré vu le traitement immonde qu'il lui valut d'avoir son corps régénérer dans sa quasi totalité. Quand à son âme il était manifeste qu'elle était déjà des plus noirs depuis son arrivée et il ne restait plus qu'à former sa volonté, mais en tant qu'ancienne suivante d'Illmater elle était indigne de suivre la prêtrise et devait subir une discipline des plus sévères.
Ainsi Raine se retrouva dans l'ordre des Disciples du Bâtonnet Blanc, un ordre de moine repoussant toujours plus le seuil de la douleur viable ce qui leur donnait une force spirituel et une volonté hors du commun. Elle apprit à recevoir les coups, tout les coups sans broncher et à les rendre avec le juste dosage de douleur à infligé, très rapidement elle du développer ses capacités Ki pour repousser son corps au delà des ses limites afin de supporter la douleur, mais aussi la faim, la soif, la fatigue, la carence en oxygène, l'absence de lumière. La voie de la douleur lui apporterait la maîtrise du corps et de l'esprit, le seul et vrai pouvoir de ceux qui contrôle leur destin. Durant de nombreuses années Raine arpenta la voie avant d'être enfin prête et capable de la suivre seule, elle avait dorénavant 21 ans lorsqu'elle put quitter le monastère sans aucun plaisir ni soulagement car elle maîtriserait son destin et plus rien ne pourrait la détourner de ce chemin.
La force de volonté de Raine est telle qu'elle n'est jamais perdue et sait toujours où elle va, dans le cas où le doute peut se poser c'est tout simplement que c'est le monde qui ne sait pas où elle est et va. Ainsi lorsque au cours de ses pérégrinations elle aboutit dans d'ancienne ruines perdues au milieu de nul part et découvrit un portail immaculé de sang elle savait pertinemment bien qu'elle se rendait quelque part et le franchit pour arriver à Cassandre sans arquer le moindre sourcil.

(Supplément d'information)
La voie de la Souffrance:
Après son rites de purification Raine fut amenée à l'ordre du Bâtonnet Blanc où sa véritable formation allait débuter. Le monastère se trouvait être d'une blancheur immaculées symbolisant la pureté de la force spirituel que les disciples devaient atteindre, toutefois rien ne s'obtient sans la souffrance nécessaire et le sol parsemé de barbelés charriait souvent le sang résultat des efforts fournis pour cette terrible discipline.
L'enseignement passait par les traditionnels séances de méditations agrémentées tout naturellement de diverses douleurs ou tortures le plus courant étant la simple flagellation, mais les disciples pouvaient être amenés à subir les pires sévices selon leurs manque de concentration. Le plus difficile lors de ces séance n'était pas la méditation elle même, faire le vide dans son esprit, ressentir les choses, développer son sixième sens ce sont les bases de beaucoup d'autres ordres. Dans cet ordre ci les disciples doivent en plus résister non pas à la douleur avec qui ils ne font plus qu'un, mais à leurs perte de sang qui en adjonction des privations les menaient rapidement au seuil de l'inconscience qui les mènerait elle même à leur perte si ils venaient à y tomber.
Si l'esprit doit être fort le corps doit l'être aussi et ils devront tout deux tendre vers la perfection, c'est dans la recherche de cet absolu que les disciples développaient leurs pouvoirs Ki afin d'augmenter leurs résistance physique et mental, mais aussi de parfaire leurs sens, leurs réflexes, ce qui les rendaient capable de prouesses quasi surnaturelles. Cependant l'absolu se doit d'être total, de ce fait le contrôle des battements du coeur, de la respiration était aussi maîtriser pour suivre la discipline imposée qui ne laissait pas place à la tolérance mais au gaz acide pour les plus faibles. Rien ne pouvait être laissé au hasard même pas un battement de cils, chaque mouvement fait par un disciple doit avoir été décidé et doit être fait comme il se doit, une tel volonté de perfection leurs octroient des pouvoirs visibles tels qu'une surprenante célérité. Mais aussi un style de combat faisant de leurs corps et leurs esprits des armes plus tranchantes que l'épée, plus puissantes que la magie, plus robuste que la roche. La perfection n'apportait pas que la maîtrise mais libérait aussi des chaînes de la servitude qu'est la nécessité d'un parti extérieur que ce soit les personnes ou les outils.
Si la voie se suit dans la douleur le plaisir n'est pas ignoré pour autant étant donné qu'il renforce la souffrance ainsi le perfide mélange des deux conduisait bien des disciples à succomber un instant à leurs passions et les menait à d'horribles punitions pour ne pas avoir su garder le contrôle. Cependant le supplice ne s'arrêtait pas là et bien souvent l'organisation des disciples étaient tels qu'ils soient tenté de se laisser aller à divers plaisirs ou perversités. Dans un cas comme dans l'autre ceux qui faiblissaient à cet instant recevaient de tels châtiments que leurs cries d'agonie et supplices résonnaient et se répercutaient dans les couloirs pour l'éternité ou presque. Une chose est sur on ne les revoyait jamais et ils n'étaient pas mort car seule la mort pouvait les libérer en mettant un terme à leur souffrance, mais aucun d'eux n'avaient encore la force ni la volonté de se la donner.

Merci!
(j'en profite pour confirmer que mes autres persos sont donc actuellement en pause.)