[Validé] Ana Mennarn

Nom de compte en jeu :Xurantar

Nom complet du personnage :Ana Mennarn

Âge du personnage : 24

Race et sexe du personnage : Humain, femelle

Caractéristique du personnage à la création :
Force 14
Agilité 14
Constitution 12
Intelligence 14
Sagesse 12
Charisme 14

Domaine de prédilection : ***

Divinité : ***

Alignement du personnage : ***

Classe du personnage : ***

Multiclassage envisagé : ***




Ana était une jeune fille à la vie simple, fille de fermier, dont l'histoire a pris le "cruel" tournant de l'aventure peut après la mort de son père, sa mère étant déjà morte lors de sa naissance.

Ses pas l'on conduite du Nord au Sud de Fearune raconte t'elle... et même par delà la Grande Mer du sud selon ses prétentions. On ne sait pas trop qu'elle véracité donnée aux dires d'une jeune femme aussi jeune... pour un tel voyage...

De loin, c'est une jeune femme banale aux cheveux sombres, mais quand on se rapproche, on peut s'apercevoir que ses yeux sont d'un iris d'un noir sombre, se confondant avec sa pupille et que sa peau est d’une pâleur blême...
On ne l’imagine pas capable d’acte de force pure, tel que de porter un homme à bout de bras, ou d’adresse, tel que de se glisser en haut d’un mur sans prises …



(Les informations remplacée par *** seront transmise au staff, lorsque son bg serra (enfin) achevé)

*Glisse le pavé dans la boite aux lettres de wolf, la déformant légèrement*

Voila monsieur

Arf... La limite de caractère m'a coupé un chapitre en deux ... Je te renvois la partie qui manque

Passé en validé suite à l'abandon de la classe de prestige

Passé en évolutif pour la classe demandé, on surveillera in game !!

Je me permet de mettre mon bg dans la partie publique. (Ayant peur de le perdre sur mon DD, je le recopie en même temps ^^)

Xurantar a écrit:

[spoiler]Nom de compte en jeu :Xurantar

Nom complet du personnage :Ana Mennarn

Âge du personnage : 24

Race et sexe du personnage : Humain, femelle

Caractéristique du personnage à la création :
Force 14
Agilité 14
Constitution 12
Intelligence 14
Sagesse 12
Charisme 14

Domaine de prédilection :Sabre (Katana), Acide, Ombre

Divinité : Shar, La Maîtresse de la Nuit ... La Dame de l'Egarement ... La Déesse sombre

Alignement du personnage : Neutre Mauvais

Classe du personnage : Roublard

Multiclassage envisagé : Chevalier Noir, Ensorceleur (Bg à faire evoluer pour le moment)

Element suplémentaire aidant à la comprehention du réçit :

Le background d'Ana retrace sa vie depuis l'age de ses 6 Ans, ou elle fait sa première rencontre avec le clergé de shar, jusqu'a ses 24 ans actuels, il est donc asser ... conséquent, et comporte des élements de Rp qui se sont déroulé sur des serveurs de NeverWinter's Nights premier du nom ^^

Chronologiquement, je dirait que ...
-Elle à 6 et 16 ans dans le chapitre 1
-Elle à 18 ans au chapitre 4
-Elle à 20 ans à sa sortie du temple de Bryn Shander au chapitre 9 (Période où j'ai commencer à la jouer)
-Elle à 22 ans au chapitre 17 (Elle change de serveur)
-Elle à toujours 22 ans au chapitre 18 (Je cesse de jouer à Neverwinter Nights)
-Elle à 24 ans au chapitre 19, son arrivée sur almirande.

Sinon ... Quand au contenus du réçit ... Il est sombre ... Tres sombre ... Et ceux, pour bien montrer toute l'horreur du culte shariste, et le fait que son histoire est peuplée de personage (joueur ou non) plus sombre les un que les autres. (une amie m'a dis que je faisait peur quand j'écrivait donc je préfère préciser :p)

Sinon ... Pour l'orthographe ... Je promet pas de miracle, désolé, je sais que j'ai un gros problème avec ça ... et pour la qualité du texte ... C'est variable selon l'époque où j'ai écrit ce bout de sa vie, et mon état de fatigue

Mais bon ... Tout ça on s'en fout ... Je sais j'adore flooder ...

Citation :

Chapitre premier :

Ana se souviens … elle se souviens de la mort de son père … de ses vœux … de son passé … de manière désordonnée et chaotique … chaotique à l’image de sa déesse.

Maintenant …

Une main blanche comme marbre ôtes la lame du corps inerte de mon père, elle peine, la lame a traversée la table aussi, elle vient retirer une mèche sombre qui me coule dans les yeux, avant de tenter à nouveau, pour finir par l'extraire dans un craquement de cotes brisées.

Il y a 5 minutes …

J’entre dans la ville, une fumée épaisse me bouche la vue, je m’époumone à appeler mon père, je bute sur le corps de madame Béatrix...

Maintenant …

Ils reviennent, nos héros, ils reviennent, nos défenseurs, je vois dame Katie marchant au milieu des décombres. Les flammes d’un dernier incendie continu de monté derrière la butte. On me cris d’aller trouvez refuge au temple de Tempus.

Il y a 5 heures …

Je cour, j’étais dans les falaises, j’espionnais des gobelins à leur pathétique passe d’arme avec leur bâton, quand la clameur et la fumée a été porté jusqu'à moi, je cour jusque cher moi, à cour de souffle.

Maintenant …

Je me détourne du temple , je me dirige vers le soleil levant, je n’entends plus les pleurs des enfants qui ont plus êtres rassemblés.

Il y a 2 jours …

Ils embarquent, nos héros, ils embarquent pour Dougan, nos défenseurs, ils vont sauver la ville de l’attaque disaient t’ils.

Maintenant …

J’hoquette un sanglot, marchant droit, je suis la main, elle est rouge, le sang de mon père a coulé de la lame jusqu'à elle, je suis la main.

Il y a 1 semaine …

William s’en vas, me traitant de sorcière, un de plus ... J’ai repoussée ses avances, mon père l’a chassé. Il me prend dans ses bras, me disant que c’était des paroles en l’air, qu’il ne faut pas m’en soucier.


Maintenant …

Je passe de la neige sur la main, la vue de ce sang me donne envies de vomir. La main bleuie légèrement, sans lâché sa lame. Je me remet à suivre la main, elle est redevenue blanche.

Il y a 4 mois …

J’amené quelques vivres à la maison, je les avais achetée là bas, mon père me sourit, me demandant où j’ai trouvez cela, je ne réponds pas. Il invite les voisins à prendre la soupe, l’embargo touche la ville durement.

Maintenant …

Je m’assois dans la neige, la main joue avec la garde de l’arme, je ne sais que faire, j’entends des bruits de pas. Je me redresse.

Il y a 1 ans …

J’observe ma peau blanchie, c’est étonnant, Maîtresse Tylnei est satisfaite de mes progrès au combat, elle m’a offerte une longue lame, c’est lourd mais c’est plus simple à manier que d’essayer de faire pousser quelques choses dans ces terres gelées.

Maintenant …

L’homme est devant moi, il tien un cimeterre, je ne sais pas ce qu’il veut, il ressemble à un pirate … non … il est un pirate.

Il y a 5 ans …

Je prononces mes vœux a la Dame de l’Egarement. La pièce où m’a menée Tylnei est d’un noir absolus, je cache ma peur. Mais elle semble disparaître au fur et a mesures de mes vœux. Je prends confiance en la déesse, je la laisse me guidée. Maîtresse Tylnei me remet un disque sombre aux bords pourpre, la cérémonie est finie.

Maintenant …

La main abat la lame encore une fois, le pirate râle, rouge de son sang, la lame m’éclabousse, j’essaye de contenir la main, qui furieusement, continue de s’abattre sur les membres de l’homme terrasser.

Il y a 7 ans …

Je suis concentrée, j’essaye de faire jaillir l’énergie de mes mains, j’exécute l’incantation comme me l’a indiquée Maîtresse Tylnei, mais seule une sphère pâle s’échappe de mes mains. Je crains qu’elle ne me punisse, mais elle ne dit qu’une chose. Je ne suis pas encore prête, plus tard peut être la maîtresse de a nuit m’ouvrira sa toile. Sans autre mot , elle m’indique de rentrer m’entraîner.

Maintenant …

Je m’essuie encore dans la neige, le pirate n’est plus qu’un vers sanglant, rallant quelque peu. Je jette un regard en arrière, vers lui, avant de me remettre à suivre la main.

Il y a 10 ans …

J’entre en titubant dans la ville des pluies. J’ai fui havre. Papa venait de me dire que c’est moi qui ais tuer maman en venant au monde ! Les tombes me font peur. J’avance lentement a travers la ville, une grande dame a peau pâle m’observe. J’entends les loups qui m’on suivit ! Ils arrivent !

Maintenant …

J’entre tête basse dans la ville des pluies. Je piétine les tombes sur mon passage. Maîtresse Tylnei semble m’attendre. Je m’avance vers elle, la main retombe, elle laisse traînée la lame au sol.

Il y a 10 ans …

La dame a fait fuir les loups blancs, elle m’observe à présent. Elle prie avec un sourire terrifiant. Elle se redresse, vient vers moi. J’ai peur. Elle me prend dans ses bras, me portant jusqu'à une ruine bordant la foret sombre. Elle me dit qu’elle prendra soin de mon éducation, Qu’ « elle » me réserve u grand avenir.

Maintenant …

Maîtresse Tylnei m’enlace, elle me berce légèrement, la main se referme sur mon bras gauche, ayant lâché la lame. Je pleure. Elle me dit que dame Shar m’offrira la vengeance, qu’il est temps que mon destin s’accomplisse … Je la crois.

Demain …

Je les saignerais tous … lâches comme assassins. Ils ne verront la lame sortir des ténèbres.

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Citation :

Chapitre deux :

Un rêve …

J’ai l’impression de marcher, j’avance au milieu des flammes, je vois les pirates déferler sur le havre. J’hurle, mais aucun son ne sors. Je m’effondre dans la neige, j’assiste au massacre, certain homme me traversant, je suis sans intérêt ... inconsistante ... Je les vois prendre les torches, les lancer … et je ne peut rien faire. Je le vois ! L’assassin. Je le reconnais ! Il s’avance cher moi, mon père brandit une chaise. J’essaye de m’interposé ! Je le frappe de mon arme ! Rien, ne se passe...

Un chant s’élève …

Une ombre approche …

Elle me fixe derrière son masque.

Elle semble accompagné ma peine de sa voix …

Je regarde l’assassin. Il a changé. Il porte une armure. Une robe bleue et noire, derrière laquelle coule une cape de même couleur. Il se retourne. Son vissage ! William ! Dans son uniforme de milicien. Je me jette sur lui, lame en avant … et perce mon père de la lame, traversant l'assassin sans sensation … L’assassin rit aux éclats, me désignant.

L’ombre me tend une arme.

La même que celle sous laquelle agonise mon père.

Son chant a cessé.

Elle me désigne l’assassin riant.

Ma main de marbre prend la garde offerte. Je me tourne vers l’assassin. Il à cesser de rire. Il pue la peur. Il recule. La lame vibre dans ma main, s’abattant soudainement sur lui.

Maintenant ...


Je m’éveille, me redressant. Le noir est complet. Je me lève. J’enfile un vêtement. La main attrape ma lame à tâtons. Je la suis. Elle me mène dehors. Le havre du levant n’est pas loin. Nous marchons.

William est là. Je le savais. Il monte la garde. Havre est en reconstruction derrière. Je m’en moque ! J’approche de Lui. Il m’interpelle. La main tire ma lame. Elle vibre dans la main. Il me traite de sorcière, attrapant la garde de son épée. La main s’abat sur lui. L’acier de son haubert, se fend, se brise, son bras suis. Il hurle, s’effondre, s’agite comme un vers. Je regarde la main rougie.

J’entend un chant, moi seul l’entend, je le sais.

L'ombre est derrière moi, elle me couvre de toute sa hauteur.

La main, ma main.

Elle s’abat sur la larve. Il cesse de hurlé. La lame cesse de vibré. Le chant s’envole. Je vois William. Son visage saisis d’horreur me fait sourire. J’entends la rumeur des autres gardes qui accourent. Je me retourne. Les ténèbres m’appel. Je m’y enfonce lentement. L’ombre est derrière moi.

J’entend à nouveau le chant alors que les gardes hurlent au meurtre.

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Citation :

Chapitre trois :

Maintenant ...

Je prie, tête basse, je ne sens plus la présence de l’ombre. Plus de chant. Les ténèbres me sont hostiles. Maîtresse Tylnei ne m’a pas encore adressée un regard depuis mon retour au temple. Je sens mon œil arraché comme s’il était encore là. J’ai mal. Ma peau me tire, je n’ais pas été soignée autre que par moi-même.

Je l’avais fait … je l’avais tuée cette catin de marchand... celle qui payait les pirates ! Mais elle est revenue à la vie. Cet idiot de Tymora l’a ressuscitée. J’ai ressayé … déesse ! La honte me submerge ! J’entends Maîtresse Tylnei approchée. Elle vient de verrouiller ma pièce, disant que l’ « on » s’occuperait de moi.

Je ferme mon œil, installée sur ma couche.

J’ai peur …


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Chapitre quatre :

Un rêve …

L’ombre est là … elle brandit la tête de mon père en riant … un rire sombre … et terriblement joyeux a la fois … un rire qui me transperce … un rire qui fait fondre mon œil en larme …

Je ne vois plus … les ténèbres m’enveloppe … je vois … l’ombre s’approche de moi … et enlève son masque pour devenir Tylnei … elle rit de nouveau … je ne vois plus …

Maintenant …

Le bruit de la porte raclant au sol me tire de ma torpeur … je regarde vers ma maîtresse … un homme se tien contre elle … son regard me terrifie dés la première seconde … un chant lointain se fait entendre … un chant sombre apaisant … un chant devenant moqueur … q’un rire perçant recouvre …

Il parle … sa voix n’est qu’ombre et rocaille. Il demande à ma maîtresse si je suis celle dont elle osais parler avec louange. Elle ne dit rien … hoche la tête. L’homme lève la main et s’éloigne de ma maîtresse … il m’approche, je peut voir le fond de ses yeux luisant dans les ténèbres … Maîtresse Tylnei ne bouge pas … elle est appuyée contre la porte de ma cellule.

Il prend mon visage entre ses doigts et me regarde droit en face … il rit … un rire sombre … un rire oppressant … Il complimente mon œil restant, le trouvant d’un beau bleue … et il enfonce son doigt là où était mon autre œil … ça fait mal … si mal … je pleure … il rit plus fort encore … il parle à la maîtresse, sans se retourner … la remercie d’avoir pris soin de moi … de son jouet …

Maîtresse Tylnei ne répond pas … sa robe est plus sombre encore que quand elle avait ouvert la porte … elle glisse … elle tombe au sol … un disque noir renvois le reflet d’une lumière plus sombre que la nuit ... ce n'est pas son colier … elle ne se relève pas … elle ne se relève plus.

La peur … La terreur … J’entend à peine l’homme se dire à lui même que je ne valais pas tant d’années gâchées … Il me tire d’une main … Je me relève … Trébuche … Il me dit qu’il essayera de faire quelque chose de moi … Que l’incompétence de ma maîtresse n’avait peut être pas tout pourris en moi …

Je pleure … J’ai peur …

L’homme rit en passant par dessus Maîtresse Tylnei … et l’Ombre rit …

J’ai peur … Je pleure …


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Citation :

Chapitre cinq :

Maintenant …
Je suis là depuis … longtemps … si longtemps … mes pensées sont confuses … mes mains ne me font plus mal ... les chaînes ne morde plus mes poignets … tant je suis restée attachée là …

Mon œil mort me fait mal … plus encore que les chaînes lorsqu’il me les avait mise …

Il fait si sombre … mais les ténèbres ne sont pas là pour moi … j’ai sommeil … mais si je dort … elle va revenir … non …

Je sens mon corps glisser contre la pierre froide …

En rêve …

J’ères … la terre est étrange … je marche pourtant dessus … une boulle de lumière … agressive … douloureuse … j’ai mal aux yeux …

Et l’ombre me regarde … une plume tombe de son masque … et la boulle de lumière semble mourir sous elle … elle s’éteint … l’ombre me tend la main … j’avance … et je tombe … je tombe vers la lumière … la lumière brûle … j’ai mal … et l’ombre rit …

Maintenant …

Je m’éveille en sursaut alors que la porte s’ouvre… j’aimerais disparaître dans le mur … me fondre dans la douceur des ombres … mais les chaînes me retiennent … me rappelant leurs cruelles morsures lors de mes mouvements …

Il approche ! Non ! … J’ai peur … Il rit … Le rire de l’ombre … J’entends les chaînes s’agiter … mes jambes trembles … Il me demande si je suis prête … je ne dis rien … il m’enlève mes chaînes et me tire au centre de la pièce …

Il me dit … Non … Il m’ordonne de me taire … Je retiens mes larmes … J’ai si peur qu’il … Je vois son vissage se déformer en un sourire dans le noir … Il me lève de force … Et me tire …

Je suis couchée … La pierre est froide … Mes jambes me tire … Les chaînes me font mal … Il s’amuse avec ma peau … Des aiguille me perce la peau … Je ne sent plus rien … La lueur des torches me fait mal à l’œil … Il se tourne vers moi … Il me conseille de prier la déesse … Ou il me l’ordonne ? …Son sourire semble amical … Il se change en rictus … Et Il rit … Le rire …


Souvenir …

Je me souviens de Maîtresse Tylnei … Je me souviens d’une de ses leçons … Elle me parlait de la Déesse … La maîtresse de la vengeance … Elle me disait … Que ceux qui implore la pitié ne sont même pas digne d’un regard … Que …

Maintenant …

Il me frappe … Je relève la tête … Il me traite de petite sotte … M’ordonne de ne pas sombrer à nouveau … alors qu’il ne fait que commencer … Je prie la Déesse … Malgré ce que ma Maîtresse me disait …

En rêve …

L’ombre me tien par la gorge … elle rit … elle me tend au-dessus de la boulle de lumière … Son rire se moque de moi … Son chant me dit que je n’obtiendrais rien que la mort par cette voix … Elle me lâche …

Maintenant …

La porte s’ouvre encore une fois … Il m’emmène … Mon Maître … Comme à chaque fois … Il m’ordonne de prier la déesse … Je ne parle pas … Et il m’attache en riant …

En rêve …

L’ombre est là … mon oeil ne se ferme que pour la voir …

Maintenant …

La porte s’ouvre … Je ne bouge pas … Mon maître m’attend … je le suis jusque là bas … Il rit toujours en m’attachant…

Souvenir …

Je me souviens de ma Maîtresse … Elle me conseille … Elle m’apprend … Je me revois à Morneval … Ma peau n’était pas encore si blanche … Je n’étais encore que la moitié de moi-même … Elle me conseille de ne pas prier la déesse pour l’implorer … Elle ne me conseille que de prier la déesse pour la mort … Je suis jeune … Je ne comprends pas …

Maintenant …

La porte s’ouvre … Je rejoins mon maître … N’ayant même plus besoin d’ouvrir mon œil pour le suivre … Il m’ordonne de prier la déesse … Je la prie … Je la prie à haute voix … Je prie la déesse pour qu’elle me permette de tuer mon maître … Il rit … Un rire qui ne s’arrête pas …

Il m’attache … Il me félicite … J’ai appris me dit-il … Il approche sa main de mon visage, me désigne de l’index … Je sent son ongle qui s’enfonce dans mon œil …

En rêve …

L’ombre revient … Mais la lumière n’est plus là … Je ne la vois pas … Je la devine … J’entends un chant … Un chant que j’ai déjà entendu … Un chant qui me plait … Mais j’ai si mal … Si mal …

Maintenant …

Le sang sur ma joue a séché … La porte se referme … Je me lève … Et avance vers mes chaînes dans les ténèbres …

Je ne peux même plus pleurer … Je ne veut plus pleurer …


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Chapitre six :

Maintenant …

Je suis debout, au milieu d’une grande pièce … D’après l’écho … Mon maître m’écoute parler … Il m’a ordonner de lui rappeler le Dogme de Déesse sombre.

J’hésite sur un mot … Il frappe … Je suis au sol, je me lève … Je n’hésite plus …

Je l’entend marcher autour de moi … sa robe frotte le sol … Mes yeux morts suive ses mouvements, mon corps tournant sur place affin de le garder face a moi … comme il me l’a ordonné.

Il s’arrête et Rit … Le rire … Je tremble … Il arrête … Viens vers moi … Me frappe …

En rêve …

L’ombre est là … Toujours … J’entend son chant encore … Il n’est plus hostile … Mais il ne me guide pas …

Maintenant …

Je suis avec mon maître … Je suis assise sur la pierre froide … Il me décrit les autres dieux … Les ennemis de la Maîtresse de la Nuit … Nos ennemis … Comment les vaincre … Comment jouer sur leurs faiblesses … Comment tirer partis des croyances de leurs fidèles afin de mieux servir la Déesse Sombre …

J’écoute … Captivé par ce savoir … Maîtresse Tylnei ne m’avais pas autan appris …

Il me demande de répéter souvent … De méditer sur tel ou tel autre chose seule … Sa voix est moins dure … Et il ne rit plus quand il me regarde …

Il me dit un jours qu’il me rendra peut être un œil … Pour que je puisse mieux le servir … Et il me frappe les jours d’après pour me punir de mal apprendre …

Souvenir …

Je me souviens de ma vie avec maîtresse Tylnei … j’apprenais a me battre dans les bois sombre entourant Morneval … Ma maîtresse m’observais de loin …Je ne croisais jamais personne dans les bois … Morneval était un village mort … me semblait il …

Si il n’y avait de temps à autre une tombe supplémentaire dans le champ cerclant la route … j’aurais pensée que nous étions seule là bas …

Seule avec le froid du Valbise … Et ma sombre Maîtresse …

Maintenant …

Je ne suis plus seule … encore moins seule avec mon Maître … les salles résonnes parfois d’écho sombre … j’entend le gargouillement des ténèbres de ma cellule … Les ombres sont avec nous … les ombres … et les fidèles de la Déesse sombre …

Je l’entend clairement dans les couloirs tortueux …

Nous ne somme pas les seul à servir la déesse sombre …

Et je n’ai plus peur … Plus aucune peur de la servir…



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Citation :

Chapitre sept :

Maintenant …

Il entre dans ma cellule … Je sens une masse me tomber sur les jambes … Il m’ordonne de mettre ceci … M’ordonne de me hâter …

Je le suit dans les couloirs … mes pieds nus sente la caresse de la fine étoffe qui constitue la robe … Il ne parle pas … Il suis un chemin que je ne connais pas … Je le suis silencieusement …

N Je ne sais pas où nous somme … Il fait froid … Aucun mur ne renvois le bruit des pas de mon Maître … Et il m’a attacher sur une dalle sombre …

Il crie … Non … Il prie … Dans une langue que je ne comprend pas … Sa voix se tourne vers moi … Il m’ordonne de lui dire qui je sert … Je répond … Je sert la Déesse Sombre … La Dame de l’Egarement … La Maîtresse de la nuit …

Il me dis que nous verrons cela … Il s’approche de moi … Il m’ordonne de répéter mes vœux … J’entend une lame glisser contre du cuir … Je répète mes vœux … Je n’ai pas peur … Je ne pleure pas …

Je sent l’acier me percer la poitrine …

Où suis-je … ?

Je sent mon esprit errer … Je regarde autour de moi … Je suis ma route … La route … L’unique … D’autres esprit entoure le mien … Et nous allons là où nous devons aller …

Maintenant …

Mes paupières s’ouvre … Mon Maître est penché sur moi … Il ne rit pas … Il me fixe …

Il rit alors que je finis d’ouvrir les yeux …

Son rire ne me fait pas peur … Et je vois …

Il se penche sur moi … Il me dit qu’il n’a peut être pas perdu son temps … Il me détache … Et m’ordonne de prier … seule …

Il part … je reste seule … j’essaye de me relever … je tombe de l’autel … Et je regarde autour de moi … Tout est sombre … Mais je vois …

Je vois … je vois … et je prie ma Déesse …



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Chapitre huit :

Maintenant …

Mon Maître m’enseigne ce qu’il ne pouvais m’apprendre avant …
Il me montre les symboles des ennemis de la Déesse Sombre … M’apprend à reconnaître les caractère du langages commun écrit … à les reproduire… comme Maîtresse Tylnei avant commençait à faire …

Je progresse vite … Je dois progresser vite … Sinon …

Le Maître a fait enlever les chaînes de ma cellule … Je n’ai plus à les mettre … Et les gamelles sont un peu plus remplie …

J’apprend plus rapidement encore …

En rêve …

L’ombre est là … Elle ne rit plus … Elle chante … Un chant que j’aime … Non pas le même qu’avant … Un autre … Mais qui me guide … Qui me guide plus loin … Que celui j’entendais avec Maîtresse Tylnei …

Maintenant …

Nous montons … Le couloir monte … C’est la première fois de puis que je suis là … J’ai peur … Mais je ne laisse pas voir … Je suis mon Maître … Tête basse … Silencieuse … Comme je l’ai appris …

Les torches sont de plus en plus nombreuses … La lumière de plus en plus forte … Je met ma main devant mes yeux, et je suis mon Maître au bruit de ses pas …

Un pan de mur s’ouvre … Nous somme dans une grande pièce … les murs sont couvert de livre … Une fenêtre est ouverte dans le toit … Il s’assoit à une table … Et m’ordonne de me mettre face a lui…

Un livre est face à moi … Il l’ouvre … Et les leçons reprennent …

A la lumière du jour …




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Chapitre neuf:

Maintenant …

Mon apprentissage ici est terminé … C’est ce que mon Maître m’a dis … Il m’a rendus ma veille armure … Et mon sabre … Et m’a dis de revenir en sachant le manier … Qu’il me surveillerait …

Bryn Shander… La plus grande des dix cités ... C’est là que je devrait revenir quand je serait prête …

En attendant … Je fait route vers la Brêche-de-Dougan … Où, je sais trouver un Maître d’arme … Celui qui est la cause de l’attaque de Havredrest … Une pierre deux coup … ?

Le voyage est long …

Souvenir …

Avant que mon oeil ne soit arraché … Je me souviens … J’errais là bas … Je cherchais un responsable … Je l’avais croisé … Le bourgmestre de Dougan …

Une simple ville de pécheur … Qu’il avait transformé en forteresse …Il serait l’homme idéal pour m’enseigner ce que je doit savoir … Et j’ai les atout pour jouer sur ses points faibles …

Maintenant …

J’y suis … La Brêche-de-Dougan … et ses rues puante …

Je l’aperçoit … Je vais vers lui ... Je lui demande si il se souvient de moi … Il hoche la tête … Il semble me jauger des yeux …

Nous somme d’accord sur les nécessités mon apprentissage … Et il accepte d’être mon Mâitre d’arme … Je tenterais d’être une élève douée … Je serais une élève douée ….

Je lui redonne mon nom … Ana … Simplement … avant que je ne m’en aille trouver une chambre en ville … et il me redonne le siens … Erkenbrand Winter’s Storm…

L’apprentissage peut commencer …



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Citation :

Chapitre dix:

Maintenant …

Nous somme dans les prisons … Je ne sais pas pourquoi … Mon Maître d’arme m’y a conduit … Je le suis à travers les couloirs sombre …

Nous nous arrêtons devant une cellule … Il me dit de regarder … Elle est vide … Et il m’y pousse …

Je parviens à ne pas tomber … il me retourne d’une seule main sur l’épaule et me propulse contre le mur du fond … Je sent mon crâne éclater …


En rêve …

L’ombre est là … j’entend son chant … un chant sombre … un chant annonciateur de malheur …

Je sais qu’elle me surveille … Je ne la décevrais pas …

Maintenant …

Je me réveille en sentant des points de métal déchirer la chair de mon dos …

Il est penché sur moi … Et me regarde d’un air sombre … Il enfonce un peu plus les pointes de son gantelet dans ma chair … Et me demande qui l’a envoyé le tuer …

J’hurle de douleur … Laissant quelques larme s’échapper de mes yeux … Je joue mon rôle … Et je lui dit que personne ne m’a envoyé … Il trace quelque chose dans mon dos de ses pointes …

Il me dit que c’est une rune … Une rune qui me tuera si je ment … Je suis sur mes gardes … Je ne peut révéler ma volonté de le tuer … Et je mens …

Il me menace encore … puis se redresse avec un sourire sombre … Il me dit qu’il me crois … Et me jette le haut de mon armure de cuir souple au visage …

Il s’éloigne vers la porte de la cellule … Et m’ordonne de le suivre …L’entraînement doit reprendre …

Je remet mon armure … J’ai mal … Mais j’arrête de laisser mes larmes couler … Il me dit de me soigner … Et qu’il m’attendra … Je le suis dans les couloirs …

Il rit en remontant l’escalier des geôles … Me lançant avant de disparaître dans la lumière que Tempus ne lui accorde pas le pouvoir de créer de telles runes …

Il est dangereux … Dangereux et sombre … Je serais plus prudente avec lui …




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Chapitre onze:

Maintenant …

J’avance dans la neige … Je rallie Targos … La route n’est plus longue … On m’y attend … Je m’enfonce dans la neige jusqu’au genoux … Mais je ne ralentie pas …

Trois nuit pour rallier cet endroit … Je reste soigneusement enveloppée dans la cape … Ma capuche tirée sur le visage … Le froid est mordant … Mais la tempête est loin … J’ai le temps d’y arriver …

Quelque chose est là … Je le sent … Je l’entend … Quelque chose … Que je ne vois pas … Quelque chose … de sombre … Je me jette sur le coté !

Une ombre sombre s’effondre là où je me tenais … Je tire mon sabre vivement et lui fait face … Je vois parfaitement sa silhouette dans la pâle lueur de la lune … Un assemblage d’os … Vaguement … Humain ?

Pas le temps de l’analyser … Je doit me défendre … Je pare … J’esquive … Et je frappe … La masse s’écroule … Ses fémurs tranché … Un être rit … Je me tourne vers l’origine du son … Et un voile semble s’effondrer … Révélant la silhouette d’un elfe …

Une voix sombre … s’échappe de la silhouette … Il me dit qu’il déteste attendre … Je lui dit que je suis dans les temps … Je divine un sourire se dessiner sur sa forme sombre … Nous avançons cote à cote vers Targos …

Souvenir…

Je l’ai rencontré après mon entraînement … Il errait à la recherche de … Quelque chose …

Il ne m’a pas vus … Il a entendus … Mon cœur battre … Dit-il …

Une sombre parodie d’elfe … Je ne vois rien d’autre pour le décrire … Un elfe à la peau qui avait sans doute été dorée … Semblant déchirée sur sa joue … Aux cheveux … mort … et aussi pâle qu’une banshee … Des yeux brillant d’une sombre intelligence … Un nécromancien … Chose qu’il n’a pas besoin de me dire …

Il a besoins de mes yeux … De mes talents … Il en reparlera a Targos … Dans quatre jours … Je dois le rejoindre … Je lui fait par de mon accort … Et je vais me préparer a la route …

Maintenant …

Targos … Une ville sombre … Autrefois une puissance militaire de Dix cites … A présent … Quelque chose … De sombre … De pire …

Rien n’a changé aux yeux des autres cités … Le conseillé est toujours en place … Il dirige la ville … Et participes aux conseils … Mais … Ce n’est qu’une marionnette … Sans vie … La ville est morte … Les chiens eux même se cache dans les ruelles … Un esprit de peur … et de noirceur s’étant sur la ville … Baine est passé par ici … Je le sais … Car il me l’a montré …

Il à dus me lancer un sort … Ou quelque chose du genre … Pour me révéler cela … Ou … Je ne sais pas … Je me sent surveillée … Et ce n’est pas l’œuvre de mon Maître …

Je revenais du temple de Tempus … Ou de son fantôme … Quand il me confiât ma tâche … Retrouver un livre … Je n’eût pas l’occasion d’en discuter … J’avais déjà commencer mes recherches … Sans même m’en rendre compte … Sachant très bien « quoi » trouver … sans qu’il me le dise vraiment …

Je ne sais combien de temps je chercha se livre … Ni même où j’avais bien plus chercher … Dans qu’elles ruines … Ou quels lieux oubliés … Mais ma quête pris fin … Aussi soudainement qu’elle m’avait été donné … Je ne cherchais plus … Quelqu’un avait trouvé … Je le sentais … Alors …

Je suis rentrée à Targos …

Souvenir…

Avant que je ne repartir vers Dougan … L’elfe m’a libéré du sort … Ricanant … Me murmurant … Avant de faire jeter devant les portes de la ville … De revenir une fois que mes capacités seraient révélées …

Maintenant …

Je reprend mon entraînement avec le Bourgmestre … Il n’a pas eut l’air d’apprécier ma disparition … Il faudra que je surveille mes arrières … En lui tournant le dos …

Je me demande toujours ce que l’elfe à voulus dire … En parlant de mes capacités …[/b]



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Citation :

Chapitre douze:

Maintenant …

Mon entraînement me prend du temps … Beaucoup de temps … Mais tout ce que j’apprend sur l’art de la guerre et des armes … N’améliore que peu mes progrès au sabre …

Je me renseigne … Je cherche … J’interroge … On m’aiguille … Un homme peut m’aider … Mais il serra dur a trouver … Quelque part aux fond des forets … Aux pied d’un arbre millénaire … Dans le bosquet des druides … Un lieux … Peut attrayant …

Je m’enfonce malgré tout … préparer a une longue route … dans les froides forêt du Valbise … Là vers où tous pense pouvoir le trouver …

En rêve …

L’ombre est là … Elle me met en garde … Son chant me met en garde … Je ne dois pas m’éloigner des sentiers choisis par ma déesse … Et les druides … Les gardiens de l’équilibre … Sont dangereux … Il va falloir que je sois prudente … Extrêmement prudente …

Je me laisse bercé par son chant … Et m’éveille …


Maintenant …

Ces bois sont un vrais labyrinthe … La forêt elle même semble me barré le passage … Je tourne en rond … Depuis des nuits … Je le sent … Je le sais … Il va me falloir de l’aide …

En sortir ... Je n’ai pas mis un quart de jours pour le faire ... Preuve … Si besoin est … Que cette forêt est … Dangereuse … Il me faut un guide …

Un rodeur ... Je l’ai trouvé en ville … Et il a accepté de me guidé dans les bois … Il dit connaître les signes de la forêt … Je n’ai pas raison de douter de ses capacités … Mais je reste sur mes gardes …

Nous somme arrivés … Dit il … Mais ce n’est pas le bosquet … Il ne m’emmènera pas plus loin … Il me dit de camper là … Il reviendra avec celui que je cherche … Je n’ai pas confiance … Mais je n’ai pas d’alternative … J’attend …

Une demi-journée est passé … Et le revoilà … A ses cotés se tiens un homme à l’air … Etrangement calme … Sa barde et ses cheveux son aussi Brun que son armure … Mais … Par dessus tout … Il n’a pas l’air d’être le vieil homme que je m’attendais à voir …

Obi … C’est bien lui … Il me demande ce que j’attend de lui … Je lui explique … Lui demande si il peut m’enseigner le maniement du sabre … Et … Reçoit en retour une question sur ce qui me pousse à vouloir manier le sabre …

J’hésite … Et je raconte … “un bout” de vérité … On ne sais jamais … Montrant mon sabre … En tant que seul chose me restant de mon père … Et mon désir de le retourner sur ceux qui l’ont tué …

Il secoue la tête … Mais ne dit pas non à ma requête … Il avance … M’ordonnant de le suivre … Et le rôdeur reste derrière nous … Nous nous enfonçons dans la forêt …

Quelques jours ont passés … Nous somme au bosquet prétend t-il … Et il m’enseigne l’art du sabre … Mais … Je dus lui faire la promesse de ne jamais employé ce sabre contre agent de l’équilibre … J’ai accepté … Un sabre peut être échangé … Et le sabre n’est pas la seule arme que je sais manier …

Ses enseignement son précieux … Mais je doit rester prudente … Sur ses paroles cachées … Et les doubles ses phrases … Et de ses questions sur moi …



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Chapitre treize:

Maintenant …

Mon maître m’a rappelé … Je vais à Bryn Shander … Je me hâte ...

Les routes sont meilleurs en pleins mois du Flammerige … J’avance vite … Aussi vite que me le permette ma monture …

En rêve …

L’ombre est là … Je l’entend chanter … Et je sais que je dois me hâter … Mon Maître m’attend … Le chant me le dit … Et je lui obéis …

Maintenant …

J’y suis … Enfin … La ville n’a pas change depuis mon départ … Les marchand grouille dans les rues … Le marché de la cornedentelle est florissant … mais tout cela ne m’intéresse pas … Je me rend vers la demeure de mon Maître … Où est masqué le temple de la Dame de la Nuit …

Mon Maître est là … Il m’attend … Je m’agenouille devant lui … Ma cape me recouvre complètement … Il me demande si je suis prête … Je lui répond que oui … Il répond qu’il verra cela …

Il m’ordonne d’approcher, et me tend un parchemin … Il me dit de le lire en sortant … Et de lui obéir … Je m’incline … Et sort de la pièce … Et me dirige vers l’entrée du temple …

A la lueur d’une torche … J’observe le parchemin … Et le lis … Mon Maître m’envois jusqu'à Luskan … Trouver quelqu’un … Une note est marqué en bas de la page … Je serais punie comme il se doit … Si je n’y suis pas en deux semaines …

Je me hâte de retrouver ma monture … Et je part vers le Sud … Me hâtant de quitter les terre gelées du Valbise … Vers Luskan …


Souvenir …

Je n’étais jamais sortie du Val bise ... Pour moi … Seul les paysages de froid et de neige pouvait exister … Je n’avais même jamais évoqué la question avec Maîtresse Tylnei … Ou mon Maître …

La surprise fut plus grande encore quand, m’éloignant de l’épine dorsale du monde … le temps aller en se réchauffant … Sans atteindre des températures exceptionnelle … Mais
suffisamment pour que ne je reconnaisse plus les arbres et les champs … Ce mon est plus grand que je ne l’avait imaginé …

[color=Gray]Maintenant …

Je suis arrivée … J’attend maintenant que mon contacte se présente … Comme convenus … Au lieu dit …

Je n’est pas l’habitude de porter de robe … Mais je suis la seule a en porter une dans cette auberge … C’est ce qui permettra à mon contact de me repérer facilement … Avant de s’assurer de mon identité … Je pense …

Un homme m’ aborde … Me complimente … Je le renvois de ma table … Lui disant compter fleurette à quelqu’un d’autre … Il sourit froidement … Et s’éclipse … Laissant un parchemin sur la table … Comme convenu …

Le nom d’un lieux … Et d’une personne … C’est tout ce que contiens le parchemin … Ma mission est claire … Plus encore par la lune qui suis le nom de la personne … Un adepte de la Vierge Lunaire doit mourir …

J’en sourirait presque … En montant me préparer dans ma chambre …



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Citation :

Chapitre quatorze:

Maintenant …

Je rentre à Bryn Shander … Je n’ai pas d’autre instruction … Je retourne vers mon Maître …

On trouvera sans doute les corps … Plus ou moins vite … Mais qu’importe … Plus rien ne permet de les identifier … Tout leurs symboles sont dans sa sacoche … Détruit … J’en rapporte les restes à mon Maître … Pour être certain que leur destruction soit … Effective …

J’ai décider de m’arrêter pour la nuit … Une auberge isolée sur la route c’était dressée … Un point de chute habituel des voyageurs donc …

Ma monture est à l’écurie … Et je me mêles aux voyageurs, visiblement peu épuisés par leur route, dans la pièce principale … Ils sont servit par un Homme beudonnant et joyeux … Qui offre de temps à autre même, une de ses chopes à un barde chantant entre les tables ... Barde qui … Me regarde un peu trop à mon goût …

Assise dans un coin sombre, portant ma robe pour être plus … Discrète … J’observe le manège du beau parleur allant de table en table en chantonnant …

Il se rapproche de plus en plus de ma table … J’entend son chant … Je trouve qu’il n’est pas vilain homme finalement … Son chant m’enveloppe et me pousse à rire a ses tours de passe-passe …

J’ai l’impression de le connaître depuis longtemps … Il s’assoit en face de moi en riant … Me proposant un verre … Que je ne peut refuser …

Je bois ses paroles … Quelque chose ne semble pas tourner rond … Mais lorsqu’il chante de nouveau … Cette idée s’éloigne de moi … Et je l’observe … Avec le sourire qui convient à mon rôle … Ou à son envie ? … Je ne saurait pas dire …

La nuit avance … Sans que je sache comment … Nous somme tout les deux devant la porte de ma chambre … Il entre en souriant … Je n’aime pas ça … Mais il chante doucement … Un si beau chant … Que je ne peut pas protester … Et que j’entre à sa suite …

C’est alors qu’il allait me rejoindre dans le lit que … Je comprit … Un doute se brisa en moi … Et repoussa toute les idées qui ne m’appartenait pas … Le regardant d’un air nouveau …

Il ne semble pas s’apercevoir du changement … Il me dit que c’est Sunie elle même qui m’a conduit jusqu'à lui … Je n’écoute plus … Je boue de colère … Je murmure quelques mots … Des mots que j’avait entendue prononcé par Maîtresse Tylnei …

Alors qu’il penche son visage sur le mien … Je l’attrape … Le serrant entre mes doigts … Et … Quelque chose … Le brûle … Il hurle de douleur … Je retire ma mains … Surprise … A la pâle lueur de la chandelle … Je ne vois plus son visage … Ou plutôt … Je ne le reconnais plus …

Un manque de chair déformé et fumante à pris sa place … Il se le prend entre les mains … Un âcre odeur d’acide flotte dans l’air …

Sans plus chercher a comprendre … J’attrape mon sac et saute par la fenêtre … Me raccrochant au lierre qui couvre la façade … Avant de m’enfoncer dans les écuries où se trouve ma monture …

Souvenir …

Je revois Maîtresse Tylnei … Je suis jeune … J’avais oublié pourtant … Elle m’enseignait … Des choses … Des incantations … Qui ne faisait pas appel à la Dame de la Nuit … De l’art disait elle … Elle sentait que j’en avait le pouvoir … Mais il fallait attendre … Qu’il ce révèle …

J’entend de nouveau les paroles de l’elfe … Me demandant de revenir le voir … Quand mes capacités seraient révélées …

Maintenant …

Je me hâte de rentrer à Bryn Shander … Je me hâte de rejoindre mon Maître … Afin de pouvoir aller à Targos ensuite …

L’elfe m’attend sans doute encore … Il m’en dira plus sur … Cette chose …




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Chapitre quinze:

Maintenant …

Mon Maître à achever de détruire les talissements des adorateurs de Séluné … Il n’a rien dit … Mais … C’est bon signe … Je pense …

Je suis à Targos … Je ne suis pas seule … Nous somme au moins deux … L’elfe … Ou ce qu’il semble être … Nous explique le fonctionnement de la toile … De l’art magique …

L’elfe désigne celui qui m’accompagne … Il le décrit comme un étudient des arts magique … Un chercheur débutant dans l’apprentissage de l’art … Il me pointe ensuite du doit … Et me décrit comme … Autre chose … Quelqu’un possédant la capacité de manier l’art … Mais une capacités inscrite depuis ma naissance … Qui n’est pas issue de l’étude …

Il prend l’exemple de ce que je lui est raconter … Que je peut naturellement modeler la toile … Sans passer par l’étude de la magie … Même si cette manipulation ci n’était due qu’a un accès de colère et provoqué involontairement …

Il se tourne finalement vers son apprentis … Et lui dis que ma tache n’en serra pour autan pas facilitée par rapport à la sienne … Et que ces capacités ne se dévoilerons pas sans un entraînement proche du siens … Car si la méthode d’apprentissage est différente … La manipulation sur la toile n’en reste pas moins identique …

En rêve …

L’ombre est là … Son chant m’accompagne … Je me sent sur la bonne voie … Je suis sur la bonne Voie ? … Rien ne m’indique le contraire … Il faut que je développe … Ce pouvoir …

Maintenant …

L’elfe … Darnozz … Nous laisse nous exercer seul … Nous prenant de temps à autre à part … Nous enseignant par bride certaines de ses connaissances …

Je sais … Que tout cela aura un prix … Et je ne suis pas pressée de le payer … Il ne fait sans doute pas cela par bonté d’âme … Le croire … Serrait être plus fou encore qu’il ne semble l’être … Mais … Tant que cela dure … Apprenons … Aucune connaissance ne serra de trop …

Je le sent … Je le sais … Je saurait l’utiliser …Quelque soit le temps que cela prendra …




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Citation :

Chapitre seize:

Souvenir …

Mon Maître m’a rappelé … Plusieurs fois … Chaque rencontre … Ce déroulant comme la première …

Chaque tâche qu’il me confiait m’amena un peu plus loin vers le Sud du Val bise … Dans des régions que je ne connaissait pas … Mais où il fallait que je m’adapte … Me fonde à la population … Rester invisible … Jusqu'à ce que le moment de frapper arrive …

La plupart du temps … J’utilisais la discrétion … Mais … Plus souvent … Le combats direct était le meilleur … Ou le seul moyen de tuer … Ou de récupérer … Ce que mon maître voulait voir disparaître …

Trop souvent … Le combats direct …

Maintenant …

Je suis blessée … Mon ventre … Saigne … Ouvert de part en part …

Mon armure … Ne m’a pas protégée … Face à une telle lame …

Le golem est de nouveau immobile … Golem … Chose animée … Son maître est mort … Ma dague dépasse encore de sa gorge … Il n’a plus d’ordre … Il ne bouge plus … Sinon … Je serais déjà morte …

Je n’ose même pas retirer mon armure ... La douleur est si forte … Il faut … Que j’atteigne … Les potions de mon sac … Il le …

En rêve …

L’ombre est prêt de moi … Elle ne chante pas … Elle me regarde … Ses yeux me transperce le ventre … Je n’ai pas le droit de mourir … Je n’ai pas … Finis … De servir la Dame de l’Egarement … Il faut que … Je me réveille …

Maintenant …

Ma main tien un flacon alors que je reviens à moi … La main … Mon ventre me brûle atrocement … Mais je sent mes chairs se ressouder … Je dois me relever … Ma tâche n’est pas … Achevée …

Je marche vers le corps du mage … Je n’arrive pas à marcher droit … J’ai mal … Je me penche … Et j’attrape ce que j’étais venus chercher …

Je ne m’attarde même pas à prendre autre chose … Je n’ai … Pas l’esprit à ça … Et je sort de cette tour sombre …

Je grimpe sur mon cheval … Et je m’éloigne …

Je dois encore progressé … Je ne suis pas prête …





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Chapitre dix-sept:

Souvenir …

Dougan … Mon Maître d’arme était sur le départ … Une route longue … Pour le sud … Et au delà …

Un soulagement de le voir partir … Non … Il avait encore beaucoup à m’enseigner… Ma dernière expédition en était la preuve …

Que faire … Le suivre ? … Non … Il me restait beaucoup à faire ici … Beaucoup trop …

Trouver un autre Maître d’arme … Impossible dans ces contrés perdues … Et l’expérience qu’il m’avait déjà fournit …

Il ne me restait qu’une solution … J’avais sus arracher le nom de sa destination avant son départ … Je devrait le rejoindre plus tard … Quelque soit la longueur du voyage …

Maintenant …

Un navire …Une coque de bois grinçante … Mais le seul moyen d’atteindre ma destination … Le Valbise n’avait plus rien à m’apprendre … Au moins pour quelques années … Je dois progresser seule sur la voie de la magie … Et mon Maître n’a pas besoins de mes services … Si je suis incapable de mieux me défendre …

Mon ventre est marqué d’un cicatrice … Qui me rappelle a quel point j’était proche de l’échec … Par mon manque d’expérience … Il fallait que je rejoigne mon Maître d’arme … Et la mer était la seule route possible …

J’embarque … Et les amarres sont lancées … Nous partons … La cote disparaît … Il faut que j’en apprenne plus sur cette colonie … Notre destination … En terre inconnues …

En rêve …

L’ombre est là … Elle chante … Je comprend … Je ne doit pas oublier qui je sert … Ces terres inconnues … Ont besoin … D’êtres convertie …

Je le ferais … Je réussirait … Ces terres inconnues connaîtrons le nom de la Dame de l’Egarement … Par mon verbe … Ou par ma lame …

Mais pas d’empressement … Nul ne doit connaître mes intentions … Avant que tout soit prêt …

Maintenant …

La terre est en vue … Nous n’allons pas tarder à débarquer …

Mais … Quelque chose me souffle de répartir avec ce navire … sous peine de ne plus revoir le Valbise …

Je ne me fie pas … Et je m’avance sur le quais … Je doit trouver mon Maître d’arme …

Je m’éfforcerais de tirer le meilleur de ces terres … Et de l’offrir à la Déesse …



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Citation :

Chapitre dix-huit:

Maintenant …

Il faut que je quitte cette île … Quelque chose … M’empêche d’y étudier l’art … Je ne sais pas … Mais il faut que je la quitte … Au moins pour quelques temps … Je n’ai pas eut le temps de prévenir mon Maître d’arme … Il serra furieux … Mais le navire part déjà …

Je n’aime pas ces terres … Leur religions … Un pâle dérivé du culte de Lathandre … Qui s’étend a toute les villes connues … Je déteste ça … C’est sans doute eux qui m’interdise d’employer l’art … A moins que la toile ne me soit fermée à cet endroit …

Qu’importe … Les côtes ne sont plus en vue … Et déjà … Mes exercices ont donné les résultats que j’attendais … Je ne manipule pas encore la toile … Mais je peut la sentir … Une chose impossible sur cette île … J’y retournerais … Quand je serais prête à défier la magie qui la couvre …

Il faut que je m’exerce … Je suis encore si peu douée dans ce domaine …


Souvenir …

Targos … Et l’elfe … le nécromant … Mon maître dans l’art … Je me souvient de ses enseignement …

La toile nous entoure … En permanence … Tel un filet … On ne peut la voir … Ni la sentir sans l’invoquer … Et le faire est risqué …

Tisser la toile est dangereux … Entremeler ses fils … Les sculpter … Les sculpter en un sort tangible … Sans fausse manœuvre … Sans erreurs … Car se tromper, en approchant du résultat voulus, à un effet … Dévastateur … Au contraire de l’erreur dans l’ignorance du tissage …

Je me souviens d’une erreur … En tissant les fils de la toile … Le sort avait échoué … Mais sont effet était bien là … Une explosion … Il n’y pas d’autres mots … Une explosion d’acide … Qui m’aurait été fatale sans les protections de la pièce d’étude …

Maintenant …

Je doit être prudente dans mon étude … Lentement … Etudier lentement … Et sans erreurs …

Je ne maîtrise pas parfaitement l’art de la guerre … Mais j’ai d’autres armes …

Je ne maîtrise pas encore le tissage de la toile … Mais j’apprend … J’étudie …

Il faut que je soit patiente … Pour réunir ces deux capacités … Afin de mieux servir la Déesse …



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Citation :

Chapitre dix-neuf:

Maintenant …

Le retour vers la colonie … L’étude … M’a pris beaucoup de temps … Et mes résultats sont encore instable … Il faudra que je travaille cela … Sinon … Je pourrait bien ne pas réussir …

J’ai même du délaisser l’art de la guerre … Pour étudier la toile … Et pas uniquement la toile de Mystra … La toile de la Dame de L’égarement … Plus belle … Plus sombre …

Une toile qui étouffe les pouvoirs de la lumière … Et renforce les ténèbres … Une toile dangereuse … Pour l’esprit … Mais dont la déesse me protège …

Une toile … Que je pourrait manipuler là bas …

Nous somme à la moitié du voyage … Et une tempête approche selon les autres marins … Il faut que nous nous préparions à l’affronter … Une tempête dans ces eaux inconnue n’est une bonne chose pour aucun navire …

Umberlie …Que tu calme ta fureur ou non … Mais nous traverserons …

En rêve …

L’ombre est là … Elle chante … Son chant est grave … Je ne sais pourquoi … Mais … Il faut que je m’éveille …

Je sent mon corps … Si loin… Et si faible … Réveille toi !


Maintenant …

La mer est plate … la tempête est passée … Et je flotte … Sur le reste de la proue …

Mon sac a disparus … Et mon cuir est craquelé du sel de la mer … Je suis Perdue … Au milieu de la Grande Mer …

Une lueur attire mon œil pourtant … Un flash … Et un écho … Au loin … Un îlot ?

Ce bout de bois ne bougera pas … La mer est plate … Mais … Il faut que je rejoigne cette lueur … Quelque chose me le souffle … Ou je vais mourir ici …

Je nage ... Je n’ai pas de force ... Mais je nage … Je dois nager … Il ne peut pas être si loin que cela …

Je l’ai atteint … Je l’ai fait ... Je ne sais pas comment … Mais … Je … N’en peut plus …

Souvenir …
Je me souviens de mon Maître … Il m’a formée … Malgré moi … A m’accrocher à la vie … A ne pas fermer les yeux face à la mort … Ou à l’horreur … En me la faisant subir … Ou en me la montrant …

Je me souviens de son rire … Et du rire de l’ombre … Un seul et même rire … Le rire de la Déesse elle même ? …

Un rire moqueur … Un rire grave … Un rire … Qui m’a endurcie … Un rire … Qui m’a forcée à refouler mon horreur … Ma peur … Ma douleur …

Un rire … Que je doit faire mien … Pour me repousser … Me dépasser … Survivre …

Un rire … Qui serra miens … Qui me changera encore …

Maintenant …

Je suis sur le sable … Et je reprend mes esprits … Et je rit … Je rit … Je pousse le Rire … J’ai survécue … Même à cela …

Mais où suis-je … Perdue sur un îlot au milieu d’un océan … Qu’aucun navire aussi fou … Que celui qui a couler … N’ose franchir …

Je me lève … Et je le vois … Un cercle de pierre … Où flotte une image trouble … Une ville … Une ville étrange … Une place où des homme circules … Un portail ?

Je regarde autour de moi … Rien d’autre … Un arbre exotique … Du sable … Et le cercle de pierre … Sans autre alternative …

Mon sac repose au fond de l’océan … Mon armure est détruite par ce même océan … La bourse qui est restée pendue à ma ceinture est bien légère … Et les arbre de prennent pas l’or contre de la nourriture … Mais …

L[b]es hommes prennent toujours l’or … De quelque monde qu’ils viennent… Que ce portail soit un piège ou pas … Je n’ai pas d’alternative … Je m’approche … Gravis les marches qui y mènent …

[b]Et le franchis … retenant mon souffle …



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Chapitre Vingt:

Maintenant …

Ce monde est étrange … Je ne l’aime pas … Les villageois ne m’accueillir pas a grand éclats de voix … Ou même a coup de lance …

Mais … D’un seul regard … Hautain … Légèrement … Craintif … Ou … Blasé ?

Ca me conviens autan … Je ne me fait pas remarquer … Et m’éloigne bien vite du disque de pierre où je suis apparus …

Quelle étrange citée … Deux quartier… Seulement … Celui où je suis apparus … Qui semble débordé de richesse … Apparente … Et un second …

Non … Pas un quartier … Un champ de ruine … En pleine reconstruction … Des miliciens y patrouillant … Portant un uniforme rouge … Voyant au milieu des poutres noircies … Qui montre bien leur différence avec l’armure noire des gardes que j’ai croisé …

Un bâtiment semble intact … Un panneau que je reconnais comme celui d’une auberge … Qui n’a pas besoins de traduction … Et je m’y dirige …

Un nain en guise de tavernier … Il parle le commun … Je serait toujours bien sur Fearune visiblement … Et il vend de la nourriture … Ce que je cherche pas dessus tout …

Eviter de tomber inanimée … Avant de poser des questions … Jouer mon rôle … Prend un air de fille bête et campagnarde … Ne rien laisser deviner de moi … Mon armure rongée par le sel à déjà trop parlée à mon goût …

Je m’attable dans un coin sombre … Résiste a l’envie d’engloutir mon plat … Mange normalement … Et regarde plusieurs personnes aller et venir vers les couloirs de l’auberge …

Je prend le temps de terminer mon plat … Une part de nain ! … Enorme … Mais que j’ai achevée … Je ne sais pas combien de temps j’ai errée sur l’eau … Mais trop longtemps semble être une bonne réponse …

Je rapporte mon plat au nain … Lui demande qu’elle est cette agitation dans son auberge … Et il m’explique que les commerçant sont logés cher lui … Ce en fixant mon armure blanchie et craquelée …

Je prend le temps de le remercier … Et me dirige vers le couloir … Il faut que je change cette armure …

Ma bourse maigrit … Je me contente juste d’un plastron de cuir bouillit et d’une cape sombre à capuchon … Et d’un bout de fer que je forge en une rudimentaire lame courte dans la forge installée là … Rudimentaire … Mais tranchante … Suffisamment …

Je retourne voir le nain … Il me dit que certaines chambres sont libres … J’en prend une … Et … Au lieu de m’y changer … M’effondre sur le lit …

Tension et fatigue réunit … Et ce nouveau monde que je connais pas … J’ai besoin de force … J’ai besoin de dormir …



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Citation :

Chapitre Vingt et un:

Maintenant …

Cette île … car s’en est une elle aussi … Je ne l’aime décidément pas …

Une île … Ou un plan prison … Pour démons … Dont personne ne peut repartir …

Une île partagée entre les locaux … Habitant ici depuis toujours … Et les exilés … comme moi … Qui viennent du portail …

Baine … Cyric … Hoar … Heaum … Loviatar … Loviatar l’ennemie de la Déesse sombre … Et la catin Lunaire … Séluné … Même elle ! … Tous … Adoré par les exilés … Inconnus par les locaux … Qui semble avoir un passer lourd avec leurs dieux… Murmuré à demi mots par le prêtre de leur temple …

Seule Talona fut citée … Dans ceux qui ne me semble pas totalement hostile … Il faudra que je me rapproche de ses croyants … Que je leur propose mon aide …

Je n’aime pas cette île … Mais je vais la changer …

En rêve…

L’ombre est là … Elle chante … Le chant … Mon guide …

Le chant qui me rappelle mon échec sur la colonie … Et la raison de cet échec …

Il me faut des alliers … Talona soit … Mais … Un prêtre de la Déesse sombre … Me permettrait de prendre des ordres sûr …

Le chant ne s’arrête pas … Un plan germe dans mon esprit …

Le prêtre de la Sentinelle qui m’a accueillit est puissant ... Mais c’est un homme … Et … Il me serra utile …

Je le retournerais … Je lui ferais embrasser la voie de la Déesse … Mais les prêtres sont borné … aveugle à la vérité … Il va me falloir … Du temps … Et des atouts …

Gagner sa confiance … Lui faire croire à mon amour … Et … Lui faire un enfant …

Même un prêtre reste un homme … Je doute qu’il continue à prier son dieu … Si je sape sa foi … Sa croyance … Et si besoins … Que je mette son enfant et son amour dans la balance …

Je le ferais mien … Il priera la déesse par mon action … Ou il serra hanter à jamais par l’ombre de la vengeance et du chaos … Et se tournera vers elle de lui même …

L’ombre ne chante plus … Mon plan est prêt …


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Citation :

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Chapitre Vingt deux:

Maintenant …

Ca va mal … Tout allait bien jusqu'à … Ce que je croise Erkenbrand …

Il est ici aussi … Cela menace non seulement mon plan … Mais aussi ma vie …

Mais c’est trop tard pour ce cacher … Cet idiot de Faelar m’a directement mis en face de lui … Assez près pour que son poing m’envoie au sol …

Je vais devoir agir … Prudemment … Dorénavant …

Souvenir …

Je me rappelle … Sur la colonie … Je l’avais rejoins … Erkenbrand …

Et son accueil avait été identique ... Un large poing s’approchant de mon visage … Un douleur … Et plus rien …

J’ai l’impression … Que toute ces histoires ne sont qu’une boucle … Une boucle sans fin … Où est le Chaos Déesse ? … Quel … Ordre ? … Monstrueux …

Maintenant …

Je m’éloigne de Faelar … Dans les ombres … Il faut que je réfléchisse … Seulle … Rapidement …

Si … Le tempusien … Découvre que je suis en ceinte du prêtre … Il me tuera …

Je n’ai pas le choix … Je vais devoir me rapprocher de lui … Tant que mon état est encore … Indiscernable …

J’aviserai après …

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Chapitre Vingt Trois:

Maintenant …

Un sabre … Un sabre de facture naine ! … Je devrais le recevoir des mains d’un forgerons nouvellement arriver … Il lui faut du temps m’a t’il dis …

Avec un tel sabre … Je pourrais sans doute percer les plus épaisse armures … Telle … Que celle d’Erkenbrand … Ou de Faelar … Si cela devient nécessaire …

Je pense … Que je n’aurai pas à en venir là … Si je sais … Les manipuler correctement …

En rêve …

L’ombre est là … Et me regarde … Elle me juge du regard … Elle ne chante pas …

Pourquoi? … Suis-je sur la mauvaise voie ? … Non …

Ce prêtre servira la Déesse sombre ... Ou il perdra la vie …

Je le promet … Il servira ou périra …


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Chapitre Vingt quatre:


Maintenant …

Une guerrière aux cheveux vert … Chose peu courante …

Surtout en train d’égorger une elfe au bord d’un lac … Il faut que je mémorise cette rencontre … Je suis seule ici … Et il me faut des alliers …

Je ne suis pas assez forte pour servir seule les intérêts de la déesse … Pour le moment …

Souvenir …

Targos … Targos …

Le fort de la Main Noire … Dans le Valbise … Je ne sais pas pourquoi cette femme me rappelle ce lieu …

Peut être ... Non … La terreur … Oui … C’est ça … J’ai déjà vus la peur qui hantait le visage de cette elfe …

C’était l’expression … Du conseiller que … Maître Darnozz manipulé …

Je doit rester prudente … Ou je risqué fort … D’être aussi bien manipulée par celle ci … Que par Darnozz …

Maintenant …

Faelar à surgit derrière moi … Il a vus le cadavre de l’elfe s’enfoncer dans l’eau … Heureusement … Il ne m’a pas vus …

Il cours dans l’eau … Sauver l’idiote … Déjà morte …

Je m’éloigne … Je ne doit pas me faire voir …

Son comportement … M’agace …

Mais j’ai besoin de lui … La déesse à besoin d’un prêtre …

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Chapitre Vingt cinq:

Maintenant …

Erkenbrand … Immonde salaud … Il m’a coincé dans un coin de la taverne …

Je n’ai rien pus faire … J’étais … Terrifiée … Pourquoi? … Pourquoi … Ai-je si peur de lui ?

Il m’a traîné dans une chambre … Et m’a encore une fois forcé à …

Il m’a confié une tâche … Une tâche … Qui me met en danger … Encore … Sans intérêt pour la déesse …

Suivre cette guerrière … Aux cheveux vert … Et tout découvrir de ses intentions …

L’entrainement reprendrait … Il faut que je me rattache à cela …

Et si j’échoue … Il me tuera … C’est certain … Je ne dois pas échouer …

Souvenir …

La colonie … Le Valbise … Et d’autres endroits encore …

Déesse Sombre … Il y a tant de lieu … Ou ta présence manque …

Cette île … Cette île aussi devrait être plongée dans le Chaos … Dans les ténèbres …

Déesse Sombre … Je n’ai jamais été asser forte pour te servir … Comme j’aurais dus le faire …

Maintenant …

Je cherche cette femme ... Amaniel … Il faut que je la trouve … Faelar la connais … Il était avec elle dans les mines Duergards …

Tant mieux … Je gagnerais facilement sa confiance en restant à coter du prêtre … Vus qu’il la considère comme une alliée …

Je la trouverai … Et je deviendrai plus forte … Pour mieux servir ma Déesse …

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Chapitre vingt six:

Maintenant …

Je l’ai trouvée … Ou plutôt … Je l’ai croisée …

Elle n’a pas posé le regard sur moi … Naturellement … Je ne suis que « la chose de Faelar » …

Je mentionne l’épisode de l’elfe … Alors qu’elle s’éloigne … La figeant sur place … Naturellement …

Qui peut se méfier d’une « chose » ? … Je souris … Et me tourne vers elle …

Je soulève ma capuche … Le jour me fait mal aux yeux … Mais j’ai besoins de la voir … Pour réagir … Au cas ou …

Souvenir …

Je me souviens … A Targos … Mon maître Darnozz … Il contrôlait la ville … Mais il ne priait pas Baine …

L’église de Baine profitée de ses services … Et lui offrait la protection dont il avait besoins pour ses recherches …

Un « échange de bon procédés » disait t’il tout haut … Mais …

Son dieu n’était pas Baine … Encore moins un de ces ridicules dieux de la Seldarine … Il priait la mort … La mort … Drow …

Kiaransalee …

Il n’en n’a jamais parlé … Mais … Tout porte à le croire … Des drows sont venus … L’on gardé … Souvent s’inclinant … Devant lui … L’elfe du soleil …

C’est lui d’ailleurs … Qui m’appris l’elfe … Pour mieux « les combattre » … « Ce peuple stupide » …

Qui sais quel sombre pacte il avait passé avec eux … Je ne m’en approchait pas … Mais une chose est certaine … Les Bainites n’était qu’un outils pour lui … Pour « eux » …

Maintenant …

Elle repart … Je pense avoir réussit … Mes services sont à « sa disposition » …

Si elle prépare quelque chose … Je serais au courant …

Erkenbrand sera satisfait …


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Chapitre vingt sept:

Maintenant …

Je sent la vie grandir en moi … C’est … Etrange … C’est … Agréable … Mais rien que l’idée que celui qui est à l’origine de cela prie Heaum … Me donne envie de m’ouvrir de ventre …

Mais ce n’est pas le moment de penser à cela … Faelar et Là … Amaniel également … Je leur parle d’Erkenbrand … Revelant uniquement des informations qu’ils devaient connaître sans oser l’avouer … Ca ce voit facilement à leur joie feinte …

Souvenir …

Cet imbécile, emplumé du chapeau, Mark Antoine, avait surgit alors que nous en discutions, loin de la ville … Pour nous vanter les bonnes graces de Loviatar … Quel idiot … Parler de la Vierge de la Douleur comme si il s’agissait d’un membre de la Triade …

J’ai bien vue que Amaniel ce contenais … Si Faelar n’avait pas été là … Nul doute que l’imbécile aurait finis comme l’elfe … Egorgé et noyé dans son propre sang …

Une bonne chose qu’elle ne tienne pas la Vierge de la Douleur en son cœur … Je n’aurais pas a dissimuler mes actions contre eux … Si elle me prend à son service …

Quand je repense que ces Loviates me prennent pour une alliée, servant Talona …

Maintenant …

Nous somme mieux isolés … Et a moins que Beshaba soit contre nous … Nous ne devrions plus être dérangé …

Le heaumithe me surprend … Pour une fois, son idée est bonne … Il a proposé à Amaniel de m’entraîner aux armes …

Il m’avait déjà entraîné, au pied de l’arène … Mais il était évident que je ne pouvais que peu progresser en compagnie d’un prêtre … Et il craint que Erkenbrand ne me tue en m’entraînant …

Ce n’est pas à écarter … Erkenbrand est … Plus brutal encore … Ici … Qu’à la Colonie …

J’hésite … Erkenbrand pourrait prendre cela pour une trahison … Mais alors qu’elle s’éloigne … Disant attendre ma réponse … Je lui lance que j’accepte …

Comment mieux la surveiller qu’en étant à ses cotés … En s’entraînant ?


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Citation :

Chapitre vingt huit:

Maintenant …

Demether … Un être intéressant … Un allier de Faelar d’après ce que j’ai plus voir de leurs rapports … Même si cela c’est dégradés avec l’annonce de cette guerre …

Il faut que je me rapproche de lui … Je suis certain … Qu’il peut m’aider a contrôler le don de l’Art …

Souvenir …

Je me souviens … Faelar … Ayant peur … Peur d’une rencontre … Avec ce dénommé Ivans …

Toute sa confiance était tournée vers Demether …

A tord … Ou à raison … Quoi qu’il en soit … Le soir de la rencontre venue … J’ai retrouvé Demether seul … Se battant avec un sombre guerrier … Qui ne pouvait être qu’Ivans …

Ce guerrier n’a eut que la possibilité de fuir face à lui … mais il n’avait pas compté sur le troupeau de Héros qui avait courus derrière moi … Alors que j’étais partis en tête apres qu’une elfe arrive en ville … Geignant dans sa langue écœurante … Sachant très bien de quoi il retournait.

Maintenant …

La tour blanche … C’est bien là que j’ai progressé à son regard … Tout d’abord en remplissant sa bourse … Contre l’enchantement de mon sabre …

Ensuite … En lui révélant mon don pour l’Art …

Bave noire … Mon nouveau sabre … Enchanté si puissant que je ne peut même plus le tenir en mains … Ce Demether est vraiment intéressant …

Il accepte de m’aider … Apres la fin des troubles de la guerre contre les duergards …

Je pourrait sans doute développer mon don avec ses conseils … Et son expérience …

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Chapitre vingt neuf:

En rêve …

Je suis seule … Seule … Sur cette île … L’ombre n’est pas là …
J’ères

Où suis-je … J’entend le chant de l’ombre … Je marche dans les ténèbres … Mais … Tout est si …Lointain …

Que puis-je faire seule Déesse … Seule … Et sans alliés ?

Maintenant …

Je m’éveille en sursaut … Personne n’est à coté de moi …

Où est cet imbécile de Faelar ... Cela fait maintenant plus d’une dizaine qu’il à disparus …

Si il ne réapparaît pas rapidement …

Quoi ? … Que ferais-je si il ne réapparaît pas rapidement ?

Il faut un prêtre … A la Dame de la Nuit sur cette île … Et il est assez affaiblis … Mentalement … Pour correspondre ...

Que faire ? …

Souvenir …

Faelar … Affaiblit … Abattus … Rétrogradé … Et même, chanté dans les rues comme un pleutre … Et un traître …

Un délice …

Si affaiblis … Malgré sa volonté de fer … Qu’il suffirait de peu de chose pour le faire basculer … Hors d’atteinte de Heaum …

Et vers qui peut-il se tourner … Sinon vers son Amante qu’il aime tant … Et qui lui offre un enfant ?

Maintenant …

J’ai parcourus la ville …L’île … Et pas de trace de lui …

Même Demether … Ou la garde … Ne sais pas ce qu’il est devenus …

Je vais devoir me débrouiller sans lui … Sans sa protection …

Il ne me gênera plus en attendant …


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Chapitre trente:

Maintenant …

Je m’entraîne … Amaniel m’entraîne …

Elle me montre des mouvements de sabre … Je les mémorises …

Attentive … Chaque … Mot … Et action … Qu’elle m’enseigne … Peut m’être utile … Pour mieux servir la déesse … Et survivre sur cette île.

Nous nous entraînons … Et je m’efforce de gagner sa confiance … Et son estime.

En rêve …

Seule … A nouveau … Pourquoi?

Où est l’ombre ?

Je l’entend … Et je la cherche … Je suis sa voix …

J’avance dans les ténèbres ... D’un pas sur …

Aveugle …

Esce le bon chemin … Déesse sombre … ?


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Chapitre trente et un :

Maintenant …

Un village … Construit de toute pièce … Loins de Cassandre…

Le projet d’Amaniel ne manque pas … De culot …

Mais elle n’est pas seule dans cette tache … Plusieurs personne sont déjà à ses cotés …

Kazalanein … Ce petit halfelin fouinard … Et Miskel … En font visiblement partis …

Tout deux sont en cellule à Cassandre … Et doivent être libérer …

Dangeureux …

Mais … Il faut tenter …

Souvenir …

Sorcier …

Les être qui s’allient et se mélanges aux démons ...

Des être fou ... De simple larve … Serviteurs de l’entités qui prendra possession de son âme …

Détestable … Surtout quand ils s’intéressent à vous …

C’est ce que j’ai appris … Dans le nord …

Maintenant …

Mais qui est cet abrutis?

L’évasion à échouée avant même que l’on entre dans le palais par sa seule présence …

Ses yeux écœurant … Nous épiant … Il à rameuter les gardes …

Et tout est tombé à l’eau …

Souvenir …

Je me souviens d’un mage … Un mage puissant … Un mage … Dont seul le nom … Faisait trembler tout le nord …

Alack Dûl … “Le Sorcier Noir” …

Je me demande … Si il avait vendu son âme …

Maintenant …

Nous somme à l’abris … Je discute avec Amaniel … Nous parlons de l’échec de la tentative …

Et il entre … Un sourire aux lèvres …

Immonde porc …

Darvin … se présente t’il …Sorcier …

Je reste dans les ombres … Je le surveille … Sabre en mains …

J’attend l’ordre de le tuer … Mais cet ordre ne viens pas …

Il discute avec Amaniel … Elle lui parle du projet … Est elle folle ?

Elle m’ordonne de m’occuper de mes armes à l’écart … Elle pense donc ne rien avoir à craindre de lui…

Et je m’occupe donc de mes armes … Graissant le mécanisme de mon arbalète … Huilant mes fourreaux … Vérifiant l’équilibre de mes dards … Passant … Dans une gerbe d’étincelles volontaire … Une pierre à aiguiser sur leurs lames pour les corrigés …

En regardant … Ce maudis sorcier …

Amaniel l’engage dans sa troupe … Folie ! …

Je trouverai bien un moyens de nous défaire de lui … Si il ne nous à pas trahis avant …

Citation :

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Chapitre trente deux :

Maintenant …

Je m’entraîne avec Amaniel …

Elle m’observe, jaugeant la passe d’arme qu’elle m’a apprise en action …

Lorsque je parviendrai à effectuer milles fois ce mouvement … Elle m’en apprendra d’autre m’a t’elle promis …

Je m’applique … En garde … Le pommeau au niveau de la ceinture … Mes deux mains le tenant avec une fermeté … Suffisamment souple pour en ressentir les mouvements …

Je lève ma lame … Mes coudes montant au dessus du niveau de mon front … J’inspire …

Et j’abaisses vivement mon sabre, dans un coup de taille, visant un point vital imaginaire dans l’air devant moi … Expirant …

Trois cent cinquante deux …

Je me remet en garde …

Et le sorcier arrive … Je réprime un frissons … Baissant ma lame …

Cet immonde porc de Darvin nous tourne encore autour … Comme à son habitude …

Sourvenir …

Amaniel avait débuté mon entraînement peu de temps après qu’elle est acceptée …

Au pied des ruines de Prise-Tempête, juste à la sortie Sud de la ville …

A l’écart de tout passage …

Elle m’avait appris ce mouvement … Des heures durant m’expliquant, et m’observant … Jusqu'à ce que je parviennent enfin à trouver la bonne position …

Elle m’a ensuite répétée le mouvement seul …

Une cinquantaine m’avaient mise sur les genoux …

Chaque matin … A chaque moment de la journée où je n’avais aucune tache … Je devrai répéter ce mouvement … Jusqu'à être capable d’en faire une série de Mille …

Je m’applique … Pour progresser vite …

Maintenant …

Amaniel est partie aux nouvelle … Je reste seule avec Darvin …

Il me tourne autour … Me questionne …

Je fait mon possible pour répondre … Sans laisser paraître mon énervement …

M’occupant comme je peut … Allumant un feu et préparant une infusion de plantes …

Il continus de m’agacer … Se servant même dans ce que j’ai préparés …

Je recommence à m’entraînée … Tournant ma concentration sur ma lame … Ignorant sa présence …

Ne voyant pas venir alors la décharge qu’il lance sur mon sabre …

Je suis propulsée en arrière … Mon sabre vole derrière moi … Se bloquant entre deux rochers …

Asser !

Je me relève … Tirant lentement mon second sabre … Approchant du sorcier …

Il continus de rire en me voyant approcher … Me demandant ce que je comptai faire à présent …

Je ne répond pas … Je me met en garde … Je lève … Mes bras semblant prendre une éternité … A dépasser la ligne de mes yeux … Le sorcier reste immobile … Figé dans sa position … J’inspire …

J’expire … Ma lame s’abaisses … La pointe de mon sabre plonge vers lui …

Sa cote de maille se déforme … Des maillons se déchirent … La pointe de mon sabre disparaît dans sa poitrine … J’en sens les bord raclés sur les cotes …

Le temps reprend son vol … Le sorcier est au sol … Dans une flaque de sang …

Je me détourne… Allant récupérer mon second sabre …

Je passe près de lui … Essuyant mes sabres avant de les ranger …

Il geint… Je lui dit de ne plus m’approcher … Et lui jette une fiole de soin dans la mains …

Je m’éloigne … Je ne m’occupe plus de ce déchet … Il à de la chance qu’Amaniel est besoins de lui …

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(C'est là le dernier chapitre, après celui ci, j'ai radicalement changé de style de narration, celui ci n'étant pas assez rapide par rapports aux événements survenus!)