[Validé] BG Mark Antoine

Darwhine
Mark Antoine
Humain
24 ans
Alignement:(..)
Religion:(..)
Classe nombre de lv prévu:(..)
Arme de prédiléction/domaines/écoles de magie:(..)

Trait de carractère: Hautain, charismatique, maniérés a l'extrème, il ne faut pas être grand clerc pour retrouver chez lui tous les signes d'un noble, gaté et choyé dès ça plus tendre enfance.
Il peut être courtois avec ceux qu'il apprécie ou particulièrement perfide envers ceux qu'il déteste.

Description physique: 1m 75, traits fin, cheveux bruns natés, il entretient depuis son arrivé sur l'ile une barbe rigoureusement taillé.
Ca musculature sans être exeptionnel ajoute a sa physionomie un peu plus de charme.

For:(..)
Dex:(..)
Cons:(..)
Int:(..)
Sag:(..)
Cha:(..)

Bg et autres informations manquantes envoyées au staff.

Citation :

Darwhine
Mark Antoine
Ensorceleur lv 8
Création: Plus d'un mois

Humains
24 ans
Loyal Mauvais
Gargauth
Levels prévus: tout en ensorceleur.
Dons de départ: chance des héros, incantation silencieuse.
Traits de carractère: (voir partie publique)
Descripton physique: (voir partie publique)

Carractéristiques:
For:14
Dex:14
Cons:14
Int:14
Sag:10
Cha:16

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BG:

Mon nom est Mark Antoine, fils du seigneur Lorent Antoine et de ma mère Louise Antoine.
Descendant de la prestigieuse lignée des anciens conquérants qui s'approprièrent ces terres, brandissant fierement le coq pour emblème.
Très tôt...dès ma naissance en fait, mon destin en temps que petit dernier de la famille fut tout tracé.
Moi et mon frère, étant les deux enfants vivant qui restaient à mes parents, c'est tout naturelement que l'ainé, Ferdinant était améné à succéder à père. Moi je devais, comme le veut la tradition, suivre la voie de la prêtrise.
De part le droit du sang, cet être baveux, au menton proéminant et très clairement atteind de déficit mental, devait passer avant moi.
Cela en coutait a mes parents de voir leur seul fils bien portant aprés 3 fausses couches sucessive, gaspiller ainsi son potentiel. Mais ils ne pouvaient aller a l'encontre des lois.

Il est dit que les familles nobles sont les rejetons des dieux ou demi-dieux et que de part leur affiliation, ils naissent privilégiés vis à vis des communs.
Il doit y avoir du vrai là-dedans, car non content de jouir d'une beauté sans pareille, ils exprimaient chez moi un potentiel magique pour le moins singulier.
A l'âge de 6 ans je me voyais deja doté de quelques dons de télékinésie, attirant à moi mes jouets préférés.
Mes parents me crurent tout d'abord possédés et firent venir toutes sortes de marabous, chamans et autres charlatants pour enter d'éxorciser le mal.
Ces sauvages agitant leur baguettes de plumes et d'os sous mon nez, n'ont réussit qu'à traumatiser le pauvre enfant que j'étais; aujourd'huis encore, je ne peux contempler ce genre d' instrument sans en resentir un certain malaise..
Bref, il fallu pas moins de 20 échecs de la part de ces faux prophètes avides d'or, pour que mes parents se rendent à l'évidence:
Je n'étais pas possédé par quelque démon malin, mais j'avais des prédispositions naturelles pour la magie .

Aussi loin que remonte nos racines et même parmi nos ancètres les plus obscures, aucun des nôtres ne semblait avoir fait carrière dans ce domaine; mes parents, ne sachant comment traiter la chose, firent tout naturellement ce qu'éxigeait l'étiquette face à une situation délicate et incontrôlable: ils cachèrent son existance aux yeux du monde, m'interdisant formellement de faire usage de mes dons en publique.

En grandissant, je supportais de moins en moins cet interdit: n'étais-je pas la preuve vivante de l'existance d'un ancètre divin dans l'arbre familliale?
Comment osaient-ils ainsi brider ce potentiel fabuleux qui était destiné a remplumer notre blason ?

Il faut dire que l'image de la famille n'était pas brillante; la succession des Antoines se faisait de plus en plus pauvre, certaines branches de la famille disparaissant purement et simplement sous le poid des mariages consanguins.
Notre famille produisait un nombre incalculable de débiles mentaux, d'être difformes et de simples d'esprit.
Comment espérer une affiliation avec une autre famille de haute noblesse avec de tels partis?
Et si ce n'était que cela...
La succession au pouvoir d'incompétants, avait plombé la famille de dettes et déjà ces horribles gens du commun, ces bourgeois avides de terre, n'attendaient qu'une chose: que le coq veuille bien cesser de se pavaner afin de le plumer sans coups ferir.

C'est à l'age de 14 ans que je fis sans doute mon premier pas en politique.
Mon ainé atteind ,comme chaque printemps par une allergie au pollen, se contortionait tel un molusque sur son lit.
Il transpirait à grosses gouttes, dégageant une odeur de sueur moite . Puni pour avoir voler une part de tarte dans les cuisines, je me devais de l' assister dans son calvaire.
Comprenez par là que je devais assurer la toilette de ce porc répugnant, à qui il arrivait de s'oublier trés fréquement.
Justement ce jour là, ne fit pas exception et à l'odeur de la sueur se rajoutait des relants de plus en plus fort ... infâmes, agressifs et âcres.
Il faut dire que depuis mon enfance on m'a toujours appris que se sallir les mains de la sorte était le travail des castes inférieurs et qu'un noble, n'ayant pas la résistance physique d'un paysan, n'était pas habilité à faire ce genre de chose.

Les bruits couraient que tout un tas de maladies plus horrible les unes que les autres s'attrapaient de cette manière.
Quel injustice! Subir un tel sort pour un simple morceau de tarte!
Je mis un gant, et ma haine fit le reste.
En effleurant ce reliquat d'être humains qu'étais mon frere, je sentis un courant puissant parcourir mon bras pour venir le frapper.
Je reconnu plustard une décharge élèctrique de faible intensité.
J'avais déjà observé ce phénomène pendant mes loisirs sur des rats ou des souris: celles-ci se paralysaient momentanément sous le choc, ou s'agitaient dans des spasmes incontrolés.
Ce coup là fut plus violent.
Je crois avec le recule, que la décharge du lui toucher les bronches ou une partie de son système respiratoire déjà fortement affaiblit par la maladie...
Quoiqu' il en soit, il se tortillait là dans son lit, tentant d'aspirer de grandes bouffés d'air qui ne vinrent jamais.
Un acte politique, certe intuitif, mais qui n'en eu pas moins d'heureuses conséquences.

Car c'est ainsi que moi, Mark Antoine revint en tête dans la succession, pour le plus grand bien de ma famille et le soulagement de mes parents.
Apres quelques jours de deuils observés pour la convenance, on se mis rapidement au travail pour m'inculquer en 4 ans ce que j'aurais du apprendre en 6.
La politique,l'elfique, la diplomatie, l'elfique, les comptes.. encore l'elfique. Pourquoi fallait-il que les accords passé entre les familles se fassent systématiquement en elfique? Quelle tradition stupide!
A l'âge de mes 18 années, vient s'ajouter des cours plus particuliers: on tenta de m'inculquer les rudiments de la chasse, de la monte et des armes...
Mis à part l'équitation dans laquelle je brillais, toutes les autres activités furent un désastre complet.
Je ne supportais pas les bleus, mon maniment de la rapière était on ne peut plus approximatif, et les balades en forêt se revélaient d'un ennuis mortel.
Je préférais de loin m'exercer au lancé de couteau: s'était moins salissant, moins douleureux et plus gratifiant.
Mes parents desespérés durent reconnaitre qu'il aurait fallut s'y prendre plustôt; c'était regrettable, mais ils allaient devoir faire avec.
A la place, j'accompagnais le bras droit de père: Henri, dans ses négociations.
Nos terre riches et fertiles, produisaient bon nombres de denrés: du chanvre, des crus de qualités, du blé en quantité, du coton qui bien que médiocre, s' imposait sur le marché, car vendu à des prix défiant toute concurrence.
Je me découvrais un don pour la négociation et j'appris donc rapidement à évaluer les marchandises: mentir et bluffer sur les denrés constituaient l'essentiel de mes activités en présence d'Henri.
Mon jeu favoris consistait a traiter avec les vieux marchands, les pourparlés pouvaient être long, aussi il n'était pas rare qu' afin de tourner une affaire à mon avantage, j'utilisais mes pouvoirs; au moment de conclure un accord sur un lot interressant, je lancais par exemple un sort de fatigue au marchand quand venait l'heure de se serrer la mains (j'avais appris avec le temps à faire taire mes incantations). Je m' interrompais alors et relancais la discussion sur les prix. Le vieil homme, soudain trés lasse, abrégeait les négociations, allant par moment jusqu'à vendre à perte!
Henri était aux anges, il ne pouvait s'expliquer mes réussites, aussi méttait-il cela sur le compte de mon enseignement et de ma physionomie avenante.
(a suivre)

Citation :

En dehors de mes cours de langues, de politique et de marchandage, j'avais quartier libre.
J'aimais à me promener alors sur nos terre, ou flaner au manoir.
J'y découvrit nombre de secrets dont mes parents ne soupçonnaient même pas l'éxistance.
Notre bibliothèque foisonnait d'écrits d'apparence annodine, mais qui en réalité cachaient des textes traitant de magie noir et de cultes interdits.Ces parchemins d'apparences banale, dissimulaient par enchantements les textes originaux.
Ainsi un livre traitant apparement de sculpture sur bois, se revélait être un complot visant a renversé le souverain de l'époque.
Mes aptitudes inées me donnèrent accès a toute cette partie de l'histoire familliale caché et oublié des siecles durant.
Au fils des ans je pu reconstituer les faits: les vagues sucessives d'envahisseurs qui déferlaient sur ces terres il y a de cela plusieurs centaines d'années, comptaient dans leurs rangs de nombreux mages, ensorceleurs et prêtres adeptes de Gargauth .
Ces personnes remarquables, tirant les ficèles dans l'ombre, manipulaient leurs entourage et se faisaient la guerre par l'intermédiaire des seigneurs dont ils étaient bien souvent les fidèles conseillés.
Notre famille officiellement issus du seigneur local, prenait vraissemblablement source auprès de son conseillé de guerre, ensorceleur charismatique, qui ne cachait pas dans ses écrits toute l'ardeur qu'il mettait à courtiser assidument la femme de son seigneur en son absence.
C'était vraissemblablement de là que je tirais mes pouvoirs ... autant pour l'origine divine.
Je passais des heures à lire les écrits passionnants de ces hommes, qui s'entouraient de gloire, sans n'avoir jamais été impliqués dans la moindre bataille rangé.
Les grimoirs poussiéreux, ne m'apportaient que peu de choses: les formules magiques, l'entrainement rigoureux necessaire au devenir d'un mage .. tout cela m'était incompréhensible.
J'arrivais à comprendre ce qu'ils voulaient obtenir et parfois meme je décritais certaines brides de leurs raisonements, seulement ils semblaient prendre des chemins tellement compliqués pour arriver à leur fin..
La source de mon pouvoir n'était qu'une question de volonté, de puissance et de concentration.
Par exemple: faire voler un arbre, n'aurait pas été si différent que les sorts de télékinésie que j'employais déjà à l'âge de six ans, le processus aurait été globalement le même, sauf que cela aurait demander plus de concentration et plus d'énergie que je n'en possède jusqu'à présent.
Voila toute la beauté de la chose: pour moi il me suffisais de vouloir, pour l'avoir. Les mages mendiaient une grue et des filins pour soulever l'arbre, quand a moi il me suffisais de lui demander ou de lui ordonner de voler.
Leurs incantations elles, s'embrouillaient dans ma tete au meme titre qu'une langue étrangère. Cela fasait longtemps que les mots chargés de pouvoir, me venaient tout naturellement à l'esprit.
J'ai une téhorie la dessus. N'étais je pas un enfant surdoué ? Je devais avoir inconsciement réussit à composer moi meme mon propre langage magique dés ma plus tendre enfance; cela expliquerait l'incompréhension que j'avais de leurs écrits...
Quoiqu'il en soit, pour toutes ces raisons je ne voyais aucun interêt a apprendre le leurs.
Les écrits religieux en revanche étaient plus interessant, ils mélangeaient allègrement les passages en commun et l' abyssal. Aussi, bien que la magie divine fut au delà de ma conpréhention, je pu néanmoins à force de travail et de percevérance, apprendre les bases du langage démoniaque; ce qui me donna accés à des livres bien plus intérressant encore...
Plus j'en apprenais et plus il me venait a l'idée des plans et des machinations toutes les plus farfelues les unes que les autres.
Mettant en relation les récits de la bibliothèque et mes connaissances politiques, je commencais a entrevoir un moyen l'étendre notre influence au delà de nos rêves les plus fous!
Il me vint alors à l'esprit que je pourrais être celui qui apporterais un nouvel essort a la ligné des Antoines!

Je comptais reprendre les terres de mes voisins les plus faibles pour aggrandir notre territoire. Cependant une règle instaurée de longue date, empechait tout conflit injustifé entre puissants.
Le traité stipulait que toute guerre provoqué pour des raisons interessées, verrait les deux protagonistes perdre leur titres et leur terres au profit de tout les autres seigneurs.
Par ailleurs, il était convenu d' un commun accord de limiter le nombre d' homme d' armes par famille, afin de prévenir tout débordement.
Cette règle, avait si bien fonctionné qu'aucune guerre d'interêt n'avait été mené depuis prés d'un siècle.

Mais l'homme est faillible et tout ce qu'il crée l'est forcement. Le texte ne faisait pas exception...
Tout d' abord, il me fallait recruter plus de soldats.
Pour se faire, j' utilisais mes réussites commerciales afin d' embaucher quelques mercenaires. Je leurs faisait suivre une formation sommaire, afin que ceux-ci passent pour des domestiques. Vu de l' extérieur, j' embauchais des cuisiniers, écuyés, commis et majors d'hommes par dizaines. J' ai même été contraind d' imaginer de nouvelles activitées. Je doute, qu' aucune famille n' ai engagé de porteur d' épée ou d' intendant aux livres (vu la densité de cours que je suivais, porter des livres à longueur de journée m' épuisait). Si mes parents et les autres familles s' étonnaient du nombre de personnes à mon service, ils avaient tôt fait de considérer cela comme un caprice d' enfant bien né.

Restait un pretexte pour pouvoir faire la guerre.
Nos voisins les Klaks, entretenaient de trés bonnes relations avec les vérrières; leur fille (étais ce Elisa? Ou Elsa? Je ne m'en souviens plus..) promise à l'ainé des klaks: Arsène, filait le parfait amour.
Une histoire a en faire pleurer toute les jouvencelles de la région.
Bref, il me fallut un mois de cours assidu pour faire voler en éclat ce cocon d'absurditées et transformer cette histoire en tragédie romantique.
La belle sous mes avances en oubliait ses engagements et c'est deux semaines plustard que la vérité éclatait en publique:
la fille ne pouvait être marié, elle avait perdu sa virginité!
Comme je l'espérais, Arsène fou de chagrin, me défia en combat singulier.
Gentilhomme jusqu'au bout, il me laissait choisir le lieu et les armes.
Je choisi la rapière, graissais la mains a quelques malandrins afin qu'ils affaiblissent discrètement la lame d'Arsène et badigeonnais allègrement la mienne d'un poison puissant et incolore.
Le duel fut sans appel: à la première parade la lame de mon adverssaire s'est brisé, la mienne dirigé par magie le touchait à la poitrine.
Le tableau aurait pu être parfait, si ce n'est que me trompant de poison, j'eu choisis le mauvais: au lieu d'être rapide et foudroyant, celui si fut lent et progressif.
Sur le coup Arsène ne senti rien et ivre de fureur s'acharna sur moi a coups de poings; ruinant ma dernière péruque à la mode, ainsi que mon visage délicat.
Parce que j'avais porté le premier sang, je fut déclaré vainqueur.

Les jours passaient et à mesure que les forces me revenaient celles d'Arsène fondaient littéralement; le poison attaquait ça chair et le trou fait par ma lame allait s'élargissant de jour en jour.
Ses souffrances étaient elles dit-on, que son ex-promise, térassée par le remord mis fin à ses jours.
C'est ainsi que les klaks nous déclarèrent la guerre.
Le plus beau dans cette histoire, c'est que toutes les autres familles voyaient cela comme un coup malheureux du destin, persuadés que c'était là une affaire de coeur tout ce qu'il y a de plus naturel et allaient même jusqu'à me pardonner mes actes, convaincu de la sincérité de mes sentiments pour la défunte.
Le serment de paix ne fut pas brisé, puisque selon toute vraissemblance l'affrontement était le résultat désastreux d'une affaire privée.

En faisant le calcul de mes forces et celle des leurs, j'arrivais à un rapport écrasant de 3 contre 1.
Malheuresement, si Arsène fut la droiture prenant forme humaine, ses parents eux, étaient fait d'un autre bois.
J'appris d'une missive, que nos force ne s'étaient même pas engagé l'une contre l'autre, que la moitier des notres s'étaient retourné contre nous et l'effet de surprise aidant, avaient balayé le reste de nos soldats restés fidèles.
Ainsi donc j'avais sous estimé l'importance de leur moyens financier...
Une erreur regretable qui me mettais dans une facheuse situation.
Je gardais la lettre pour moi et préparais mes affaires.
Je mentis à mes parents prétendant que nous l'avions emporté haut la mains. J'étais tout de meme a l'origine de leur fortune, il était donc grand temps qu'ils prennent leurs responsabilités et assument un minimum leurs devoirs!
Je pris ce qui restait des bijoux de mère (de toute façon je doute qu'elle en ai eu besoin) et les laissait là en empruntant un passage secret don l'existance m'avait été révélé par les textes anciens.
Grand bien m'en a pris, puisqu'un jour de voyage à peine après mon départ,et je voyais déjà au loin se propager l'incendie de ce qu'avait été notre demeure.

Deux jours plustard je prenais le bateau en direction de la Rashémie, mes possésions financière n'étaient certe pas exeptionnelles, mais suffisement confortables pour que mes conditions restent suportables.
Malheuresement, la tempète remit en question mes projets.
Il ne me restait que ma bourse après le naufrage.
En traverssant la porte je découvris la ville de Cassandre, et voyant sa richesse et sa prospérité, l'idée me vint qu'elle méritrait peut-être un gouverneur de ma trempe ...